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En fait c'était un appel du pied à une présentation en bonne forme http://forum-new.scct.fr/public/style_emoticons/default/icon_wink.gif
je m'en doutais un peu http://forum-new.scct.fr/public/style_emoticons/default/icon_wink.gif
il est plus présent sur un autre forum.
J'étais fan sans + mais là c'est le drame, j'suis tombé amoureux ! (de la voiture je précise).
Faut dire que celle-ci est franchement neuve !
et si vous voulez vous en faire une : http://www.ginettaheritage.co.uk/phpbb/viewtopic.php?f=3&t=610
pour les versions courses où la carburation est libre, on peut monter jusqu’à 110
Si vous voulez un plateau et un chauffeur pour aller en chercher une je suis là http://forum-new.scct.fr/public/style_emoticons/default/wink.png
Toujours est-il que nos petits gars étaient toutefois assez en forme le lendemain pour aller taquiner les gens de l'Aiguillon en Challenge de Vendée et leur infliger une petite défaite sur un score de 3 à 2.
On ne pouvait vraiment pas mieux terminer cette année 2012
Suite à la nouvelle vague de froid, il n'y aura encore pas de match ce week end de fin janvier, heureusement dirait le président ; les deux équipes n'auront pu jouer par manque de monde.
Mais la trêve commence à être longue et l'entraînement va manquer à certains d'entre nous, c'est pourquoi il vou sfaut courir ! Toujours courir !
Les Irlandais ont levé un vieux tabou: ils se sont prononcés en faveur de la légalisation de l'avortement
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25 réflexions au sujet de « Trois versions d’une même image, laquelle préférez vous? »
Sur le fond, tu as raison. Il aurait �t� bon que j’explique que c’est la photo avec le flou que je pr�f�re. Parce que j’ai voulu traduire cette impression que j’ai dans des bois de ce genre. Un jaillissement. Dans un premier temps, j’ai voulu connaitre le ressenti non r�fl�chi.
La prochaine fois, je vais expliquer..
Si je dis 1 – 3 – 2 j’ai le tiercé dans l’ordre ?
J’aime le contraste de la première.
J’aime bien la une , plus de pep’s avec la correction des niveaux , le flou de la trois est pour moi un peu trop exagéré
Ma préférence va à la deux mais, sur mon écran 26″ calibré pour la photo, je préférerais peut-être la une plus contrastée.
La no 1 en la redressant un chouïa. La 3 est trop floue…j’ai l’impression de me promener en sautillant sans lunettes.
C’est difficile … je ne sais pas. peut-être la 2 …..
Et bien moi, je prends les deux premières !
Quant à la trois, peut-être que le flou est vraiment trop flou… ?
une nouvelle présentation de ton blog ?
La 1, mais la 3 n’est pas mal non plus….bonne journée!
Je préfère celle du haut, mais c’est tout à fait personnel… Chris
Le 20 janvier 2014 à 7 h 34 min , jean pierre a a dit :
bjr Dominique, j’ai hésité entre la 1 et 3 et finalement, je prends la 1 sans modification, naturelle et vraie.
Je préfère la 1ère, pour le contraste.
Pour ma part, » je n’aime pas trop traiter de trop… » mais je dois reconnaitre que le traitement de la dernière image me convient tout à fait .
Le 20 janvier 2014 à 0 h 28 min , franco-québécoise a dit :
Je crois que je préfère la première…
La photo 2 me plait bien car la lumière me semble bonne pour ce genre de paysage. Bonne soirée !
Je vais rester sur la 1 pour son contraste.
J’aime beaucoup la douceur de la version originale…
Lutte contre le chômage de longue durée
Accord avec le Québec sur les avenants relatifs à la Sécurité sociale et à la protection sociale
M. Patrick Kanner, ministre de la ville, de la jeunesse et des sports
Amendements nos 780 rectifié , 783 (sous-amendement) , 802 (sous-amendement)
Articles 39 et 39 bis (appelés par priorité)
M. Bertrand Pancher. Monsieur le Premier ministre, à chaque coin de rue à Paris, des retraités, des jeunes, des familles, réduits à la mendicité, dorment sur le trottoir. Ils sont de plus en plus nombreux, année après année. Cela est inacceptable !
Hier, les Restos du cœur ont lancé leur trente-deuxième campagne hivernale. Jusqu’au mois de mars, ce sont ainsi 70 000 bénévoles, à qui nous devons rendre hommage, qui distribueront des millions de repas aux plus démunis. (Applaudissements sur tous les bancs.)
L’hiver dernier, 130 millions de ces repas ont été servis. Hélas, la pauvreté est loin de faiblir en France. Comme en témoigne le dernier rapport du Secours catholique, elle a progressé au contraire de près de 3 % entre 2014 et 2015. Neuf millions de personnes vivent en dessous du seuil de pauvreté, dont 3 millions d’enfants.
Nous avons le même sang, le même cœur que les pauvres. Vivre avec dignité est au centre de l’exigence républicaine. Comment expliquez-vous, monsieur le Premier ministre, que de plus en plus de familles soient plongées dans une telle précarité et une telle détresse ? (Applaudissements sur les bancs du groupe de l’Union des démocrates et indépendants.)
Au-delà, la lutte contre la pauvreté est un domaine interministériel, puisqu’elle concerne toutes les politiques publiques. C’est la raison pour laquelle le Premier ministre a engagé dès 2013 un plan pluriannuel de lutte contre la pauvreté. Celui-ci a permis, selon l’INSEE, de faire diminuer les inégalités en France depuis 2012 ainsi que de stabiliser la pauvreté.
Mme Ségolène Neuville, secrétaire d’État. Des hommes et des femmes politiques ont mis ces préjugés contre la pauvreté sur la place publique. C’est cela qu’il faut combattre, c’est ce contre quoi le Gouvernement se mobilise.
M. Alain Fauré. Monsieur le ministre de l’économie et des finances, je voudrais revenir sur la réforme du prélèvement à la source incluse dans le budget 2017 et votée hier à une large majorité. (Rires sur plusieurs bancs du groupe Les Républicains.)
M. Alain Fauré. …mais curieusement, lors de sa discussion, la semaine dernière, un seul de ses membres est venu porter la contestation. Mes chers collègues de droite, le danger réside plus dans la posture et dans votre éloignement des réalités de la vie au quotidien.
M. Alain Fauré. Là où vous voyez de la complexité, une atteinte à la confidentialité, des charges supplémentaires pour les employeurs, cette réforme offre aux contribuables français, jeunes actifs, nouveaux mariés – « pour tous » ou pas –, nouveaux parents, nouveaux retraités, l’occasion de s’acquitter de l’impôt sur le revenu en fonction de leur situation et de leurs ressources du moment. C’est un réel progrès que nous mettons en œuvre et il s’appliquera bien au 1er janvier 2018.
Monsieur le ministre, pouvez-vous nous apporter des précisions supplémentaires sur les liens entre le contribuable et l’administration, le taux neutre, le rôle des employeurs et la gestion des revenus de 2017 ? (Applaudissements sur les bancs du groupe socialiste, écologiste et républicain.)
M. Michel Sapin, ministre de l’économie et des finances. Monsieur le député, la réforme relative au prélèvement à la source, défendue avec beaucoup de talent et d’obstination par Christian Eckert, et adoptée par une large majorité de cette assemblée, est une réforme de simplicité, destinée à faciliter la vie quotidienne des contribuables.
M. Michel Sapin, ministre. Vous le savez bien, puisque cette problématique est au cœur de la réforme, il arrive au moins une fois dans la vie, quand ce n’est plusieurs fois, de payer des impôts élevés l’année où les revenus baissent. C’est le cas de celui qui se retrouve au chômage, qui part en retraite, ou qui voit la configuration de sa famille évoluer, suite à l’arrivée d’un enfant, par exemple.
Faire en sorte que les impôts varient en fonction du revenu versé à chacun d’entre nous, voilà une réforme qui ne devrait pas donner lieu à des querelles idéologiques, car c’est une réforme pratique, porteuse de simplicité, souhaitée par tous depuis cinquante ans. Et c’est aujourd’hui vous qui l’avez votée !
Cette réforme est d’ailleurs si évidente qu’elle est appliquée dans tous les pays du monde, à l’exception de deux États auxquels je ne voudrais pas faire une publicité particulière, Singapour et la Suisse. Tous les autres pays, grands ou petits, ont adopté depuis longtemps une telle réforme. Nous devions la mener à notre tour.
M. Michel Sapin, ministre. Bien sûr, des préoccupations subsistent. Tout d’abord, le dispositif doit être simple pour celui qui verse le revenu et prélève l’impôt, qu’il s’agisse des entreprises ou des organismes de retraite. Il faut aussi garantir la confidentialité des informations : le seul interlocuteur du contribuable sera toujours l’administration fiscale, aujourd’hui soumise au secret.
M. Yves Nicolin. Monsieur le Premier ministre, il y a trois ans, le président François Hollande lançait le grand choc de simplification. Le 3 février dernier, vous déclariez : « Simplifier partout où c’est nécessaire : c’est, depuis trois ans, notre mot d’ordre ».
Or depuis quatre ans, les Français n’ont jamais autant souffert de la complexité administrative. Ce qui devait être plus simple est devenu encore plus compliqué.
Le Président de la République a alors abattu une carte maîtresse lors du dernier remaniement gouvernemental. Il a placé un secrétaire d’État à la simplification ! (Rires sur les bancs du groupe Les Républicains.)
Je pensais naïvement que la retenue à la source allait enfin simplifier la vie des Français.
Ensuite, vous nous dites que les entreprises prélèvent déjà la CSG et qu’elles peuvent donc bien aussi se charger du prélèvement de l’impôt sur le revenu. Vous oubliez simplement que l’impôt sur le revenu est individualisé, ce qui imposera aux entreprises de déployer des moyens considérables, comme si elles n’avaient que cela à faire. Merci de prendre les entreprises pour des imbéciles.
Enfin, Monsieur le Premier ministre et j’en terminerai par là, il est écrit que pour préserver la confidentialité, les contribuables qui le souhaitent pourront prendre la responsabilité de calculer et de verser de leur propre chef la différence entre le montant de la retenue à la source opérée et celui du prélèvement normalement dû. Alors là, c’est d’une simplicité déconcertante !
M. le président. La parole est à M. le secrétaire d’État chargé du budget et des comptes publics.
S’agissant de la prétendue complexité du dispositif pour les entreprises, soyons sérieux. Tous les gouvernements, en particulier celui-ci, ont travaillé pour mettre en place une déclaration sociale nominative, qui représente un progrès considérable et connaît aujourd’hui une adhésion massive de la part des entreprises. C’est une ligne supplémentaire dans ce tuyau informatique qui permettra les échanges entre les entreprises et les administrations. Si cela est considéré comme compliqué, je n’y comprends plus rien.
Enfin, concernant les avantages du prélèvement à la source, qu’a parfaitement décrits Michel Sapin, chaque Français pourra les mesurer. Tous ceux qui, il y a quelques années, sur ces bancs, à droite, étaient favorables au prélèvement à la source, s’y opposent aujourd’hui – du moins dans l’hémicycle – pour des raisons politiciennes et de circonstance.
La modernité et la simplicité, c’est bien de ce côté gauche qu’elles se trouvent. (Applaudissements sur les bancs du groupe socialiste, écologiste et républicain. - Exclamations sur les bancs du groupe Les Républicains.)
À la veille de la journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes, rappelons qu’en 2015, cent vingt-deux femmes ont été tuées par leur compagnon ou ex-compagnon. Aujourd’hui, 23 novembre, on en dénombrerait déjà cent pour l’année 2016. Soixante-douze mères. Huit tuées avec leurs enfants. Cent trente enfants se retrouvent orphelins. Juste pour 2016. Juste parce qu’elles étaient des femmes.
Les femmes résistent à ces violences, les dénoncent et les combattent. Mais ces chiffres sont dramatiquement stables chaque année, comme ceux des victimes de viol ou de harcèlement sexuel.
Durant ce mandat, le Gouvernement a fait le choix d’augmenter les moyens alloués à la lutte contre toutes ces violences.
Mme Maud Olivier. Il acte clairement que les violences faites aux femmes ne sont pas les conséquences d’une dispute entre deux adultes qui dégénère, mais celles d’une violence systémique contre les femmes parce qu’elles sont des femmes. Et nous inscrivons dans la loi que tuer, frapper quelqu’un en raison de son sexe est une circonstance aggravante.
Affirmer que l’égalité femmes-hommes fait partie de notre identité, c’est important. Mais pour être crédible, il faut combattre le sexisme dans la société française, concrètement, comme le fait notre majorité depuis quatre ans.
Mme Maud Olivier. Madame la ministre, je sais votre engagement sur ces questions. L’évaluation, rendue hier par le Haut Conseil à l’égalité, du quatrième plan de lutte contre les violences faites aux femmes montre les progrès de l’action publique pour mieux accueillir et informer les victimes, les protéger et mobiliser l’ensemble de la société. Vous allez présenter le cinquième plan 2017-2019 ce 25 novembre. Pouvez-vous nous en donner les grandes lignes ? (Applaudissements sur les bancs du groupe socialiste, écologiste et républicain.)
Pour le cinquième plan, nous nous sommes appuyés sur ce qui a réussi.
Ce qui a réussi, c’est d’abord la formation de 300 000 professionnels qui maintenant savent repérer et accompagner les femmes victimes de violences.
Ce qui a réussi, c’est la mise à l’abri, avec près de 1 600 places nouvelles ouvertes pour héberger les femmes victimes de violences.
Ce qui a réussi également, c’est la libération de la parole.
Dans le cinquième plan, nous renforcerons ces actions, d’abord avec des moyens budgétaires – les moyens dévolus sont doublés entre le quatrième et le cinquième plan –, mais aussi avec de « nouveaux entrants », si j’ose dire, dans le dispositif.
Ensuite, nous avons identifié deux catégories de femmes qui, pour le moment, échappent encore au dispositif.
D’une part, les femmes des territoires ruraux, qui sont insuffisamment couverts et qui ne seront jamais couverts par toutes les associations. Aussi tous les professionnels des maisons de services au public, des associations et des institutions sur place seront-ils formés. Des bons de taxi seront mis à disposition dans vingt-cinq départements.
D’autre part, les jeunes femmes de moins de vingt-cinq ans bénéficieront de cent places d’hébergement spécifique supplémentaires.
Le 14 novembre dernier, la cour administrative d’appel de Nantes a validé les arrêtés préfectoraux permettant de démarrer le chantier de l’aéroport du Grand Ouest à Notre-Dame-des-Landes. Cette décision de la justice administrative s’ajoute donc aux plus de 170 autres décisions de justice favorables au commencement des travaux.
Elle s’ajoute au long débat public engagé en 2002-2003 et aux nombreux votes favorables du Conseil économique, social et environnemental régional et à la validation donnée également par les institutions européennes.
Elle s’ajoute enfin au résultat de la consultation populaire du 26 juin 2016, souhaitée par le Président de la République. Les électeurs se sont prononcés à plus de 55 %, en faveur du transfert de l’aéroport. Ce sont 269 000 voix qui pensent, comme vous, que l’aéroport est une chance pour le Grand Ouest.
Dès lors, rien ne semble s’opposer au début des travaux. C’est d’ailleurs ce message qu’ont porté, aujourd’hui, devant l’Assemblée, les défenseurs du projet : l’État doit faire respecter, tout à la fois, son autorité et les décisions prises démocratiquement.
Mme Marie-Françoise Clergeau. Monsieur le Premier ministre, pouvez-vous nous confirmer que les travaux vont bien être engagés, et nous indiquer dans quels délais ? Je vous remercie. (Applaudissements sur quelques bancs du groupe socialiste, écologiste et républicain.)
M. le président. La parole est à M. le Premier ministre. (« Ah ! » sur les bancs du groupe Les Républicains.)
M. Manuel Valls, Premier ministre. Monsieur le président, mesdames et messieurs les députés, je salue les cris de joie qui m’accueillent du côté droit de l’hémicycle. Je vois que la bonne humeur règne,…
M. Guy Geoffroy. Pour l’instant, ça ne mange pas de pain…
M. Manuel Valls, Premier ministre. …je l’ai porté comme Premier ministre avec loyauté et responsabilité.
M. Manuel Valls, Premier ministre. Loyauté, responsabilité et respect vis-à-vis des électeurs qui se sont prononcés par leur participation, et par ailleurs très clairement, sur le projet en tout état de cause, la consultation ayant été annoncée, vous l’avez également rappelé, par le Président de la République.
Moi, j’ai pris mes responsabilités comme chef du Gouvernement. Maintenant, oui, il faut que l’on puisse mettre en œuvre ces décisions…
M. Manuel Valls, Premier ministre. …en tenant compte, bien sûr, du risque de violences à l’égard de forces de l’ordre particulièrement éprouvées.