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Tous ces symptômes peuvent être irréversibles ou incomplètement, lentement résolutifs, · chute des paupières associée à un rétrécissement de vos pupilles et parfois à une réduction de la transpiration (syndrome de Horner).
Cela se produit après une administration en péridurale ou dans la région thorax/tête/cou, · transpiration et rougissement asymétriques au niveau de la partie supérieure de la poitrine, du cou ou du visage (syndrome d'Harlequin), · Hématome intracrânien.
Effets indésirables supplémentaires chez les enfants et les adolescents Les effets indésirables chez les enfants sont similaires à ceux des adultes Déclaration des effets secondaires Si vous ressentez un quelconque effet indésirable, parlez-en à votre médecin, votre pharmacien ou à votre infirmier/ère.
Ceci s’applique aussi à tout effet indésirable qui ne serait pas mentionné dans cette notice.
Vous pouvez également déclarer les effets indésirables directement via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet: www.signalement-sante.gouv.fr.
En signalant les effets indésirables, vous contribuez à fournir davantage d’informations sur la sécurité du médicament. 5.
COMMENT CONSERVER BUPIVACAINE AGUETTANT 5 mg/ml, solution injectable ?
Tenir ce médicament hors de la vue et de la portée des enfants.
N’utilisez pas ce médicament après la date de péremption indiquée sur l’emballage après EXP.
La date de péremption fait référence au dernier jour de ce mois.
Ne jetez aucun médicament au tout-à-l’égout ou avec les ordures ménagères.
Demandez à votre pharmacien d’éliminer les médicaments que vous n’utilisez plus.
Ces mesures contribueront à protéger l’environnement. 6.
CONTENU DE L’EMBALLAGE ET AUTRES INFORMATIONS Ce que contient BUPIVACAINE AGUETTANT 5 mg/ml, solution injectable · La substance active est : Chlorhydrate de bupivacaïne monohydraté..................................................................... 5,28 mg Quantité correspondant à chlohydrate de bupivacaïne anhydre....................................... 5,00 mg Pour 1 ml · Les autres composants sont : · Chlorure de sodium, hydroxyde de sodium, eau pour préparations injectables.
Qu’est-ce que BUPIVACAINE AGUETTANT 5 mg/ml, solution injectable et contenu de l’emballage extérieur Ce médicament se présente sous forme de solution injectable en flacon (verre) de 20 ml.
Boîte de 1, 10 ou 25.
Titulaire de l’autorisation de mise sur le marché LABORATOIRE AGUETTANT 1 RUE ALEXANDER FLEMING 69007 LYON FRANCE Exploitant de l’autorisation de mise sur le marché LABORATOIRE AGUETTANT 1 RUE ALEXANDER FLEMING 69007 LYON FRANCE Fabricant LABORATOIRE AGUETTANT 1 RUE ALEXANDER FLEMING 69007 LYON FRANCE Noms du médicament dans les Etats membres de l'Espace Economique Européen Sans objet.
La dernière date à laquelle cette notice a été révisée est : A compléter ultérieurement par le titulaire Autres Des informations détaillées sur ce médicament sont disponibles sur le site Internet de l’ANSM (France).
La politique éditoriale de notre revue privilégie les « dossiers ».
Soit elle confie à un ou des spécialistes d’une question le soin de coordonner un numéro, soit elle s’efforce de regrouper les articles de recherche qu’elle publie en fonction de logiques thématiques.
Cependant des articles rendant compte de recherches scientifiques de bon niveau soumis résistent parfois à la logique du regroupement thématique.
Ils concernent des objets très contextualisés et/ou rarement travaillés ou alors ils portent sur des champs professionnels distants avec des approches théoriques et méthodologiques hétérogènes, ce qui est le cas pour les quatre articles de ce numéro.
Ils ont été retenus parce qu’ils étaient prêts pour la publication, après avoir satisfait aux critères de sélection du comité de rédaction de la revue et à l’expertise de ses lecteurs.
Nous pouvons néanmoins remarquer que ces articles analysent différents constituants de la pratique dans les métiers de l’enseignement (primaire ou secondaire) ou du travail social, dont la prise en compte éclaire des orientations et des degrés distincts de l’investissement professionnel des acteurs.
Ils suggèrent que l’articulation appropriée des constituants retenus est un enjeu pour leur dynamique professionnelle.
Il peut s’agir de la conjugaison des différentes temporalités que Thierry Bouchetal distingue dans l’exercice du métier chez les enseignants du premier degré.
L’auteur émet l’hypothèse que de la capacité de ces enseignants « à dénouer [les épreuves] dans des temporalités concordantes [ c’est nous qui soulignons ] découlent tout à la fois les contours d’une carrière enseignante durable et la constitution d’une professionnalité vivante ».
Éric Maleyrot met en relation la façon divergente dont trois écoles étudiées s’emparent d’un même dispositif de travail partagé et les pratiques dominantes déjà en place dans chacune, d’où il ressort des dynamiques professionnelles fortement différenciées.
Laurent Dastugue, Guillaume Escalié, Caroline Ducès et Sébastien Chaliès s’attachent à un dispositif de formation initiale en Éducation Physique et Sportive qui propose à des étudiants de concevoir puis de mettre en œuvre l’enseignement d’activités physiques, sportives et artistiques en prenant appui sur leur expérience en formation de ces mêmes pratiques.
C’est encore une articulation que propose Sébastien Ponnou car si le travail social se soutient du désir du professionnel, gage de son implication et de son inventivité dans la rencontre avec chacun de ses interlocuteurs, il nécessite aussi que soient dégagés les enjeux épistémologiques à son fondement.
C’est cette réponse conjointe aux enjeux de la rencontre et aux exigences scientifiques de l’intervention sociale qui permettra d’échapper aux tentatives néo-positivistes d’imposer des protocoles qui, en régissant uniformément l’activité du travailleur social, risqueraient de compromettre sa dynamique professionnelle.
On trouvera ci-après le résumé de chacun de ces quatre articles.
Thierry Bouchetal : Les professeurs des écoles en cours de carrière : Épreuves et temporalités du métier La question du temps chez les professeurs des écoles fait l’objet de discours contradictoires entre raillerie, (manque de) disponibilité et contrainte organisationnelle.
Ainsi, les temps de l’activité professionnelle, du parcours dans le métier et de la vie personnelle s’entremêlent et parfois s’opposent.
Pour mieux comprendre ce qui fait épreuve sur une temporalité longue dans le travail des professeurs des écoles, nous avons recueilli des récits professionnels de maîtres en cours de carrière.
Après analyse, nous remarquons que les épreuves citées s’ancrent simultanément dans trois temporalités (la journée de travail, la durée d’un poste, l’avenir), dessinant de la sorte un système d’épreuves dans le métier et un équilibre temporel fragile chez les enseignants.
Éric Maleyrot : Le travail partagé dans le dispositif « plus de maîtres que de classes » : Contrastes des formes de collaboration et des dynamiques professionnelles L’introduction en France, à la rentrée 2013, du dispositif « plus de maîtres que de classes » dans des écoles primaires recevant une majorité d’élèves en difficulté scolaire vise, non seulement, l’amélioration de leurs apprentissages mais également, une collaboration plus forte des enseignants.
Par une enquête ethnographique dans trois écoles, cet article cherche à caractériser les formes de collaboration mais également à dégager les dynamiques professionnelles à l’œuvre.
En s’appuyant sur les notions de travail partagé et de partenariat, les résultats montrent des formes de collaboration collective qui influencent le travail partagé interindividuel des enseignants.
Ils mettent en relief que la reconnaissance professionnelle, les « principes tenus pour vrai » et les termes de la négociation des actions communes constituent trois facteurs influant sur ces collaborations.
Enfin, ils révèlent des dynamiques professionnelles agissant de manières diverses sur la forme scolaire traditionnelle.
Laurent Dastugue, Guillaume Escalié, Caroline Ducès et Sébastien Chaliès : Passer de pratiques d’Activité Physique Sportive et Artistique à leur enseignement : quels jeux de langage dans le cadre d’une alternance intégrative ?
Cet article propose à partir d’un programme de recherche en anthropologie culturaliste un dispositif de formation permettant de faire vivre une alternance intégrative dans la formation des étudiants se destinant au métier d’enseignant d’EPS (Éducation Physique et Sportive).
Précisément, ce dispositif tente de donner la possibilité aux étudiants de prendre appui sur leurs expériences de pratique d’APSA (Activité Physique Sportive et Artistique) pour enseigner.
Pour ce faire, il présente trois aménagements du contenu de modules de formation du master MEEF (Métier de l’Éducation, de l’Enseignement et de la Formation) parcours EPS.
Ces aménagements technologiques, pensés à partir de postulats empruntés au programme de recherche en anthropologie culturaliste ainsi que leurs retombées en matière de préprofessionnalisation sont ainsi détaillés : (i) apprendre des règles en tant que pratiquant, (ii) s’essayer à l’enseignement des règles dans une situation de simulation, (iii) enseigner des règles à des élèves.
Les résultats obtenus montrent que le dispositif mis en place a permis aux étudiants de se mettre en activité en tant qu’enseignant en faisant jouer partiellement les règles apprises en tant que pratiquant.
Les étudiants ont été confrontés à des difficultés pour s’appuyer sur l’ensemble des aspects constitutifs de ces règles pour enseigner.
À partir de ce constat, des pistes d’aménagement de la formation sont envisagées.
Sébastien Ponnou : Arguments en faveur d’une pratique fondée sur des données cliniques en travail social (Clinical Based Practice in Social Work) Nos récents travaux portant sur les pratiques et la formation des travailleurs sociaux nous ont permis de soutenir l’existence d’une sphère clinique de l’intervention sociale, dont nous avons interrogé la consistance et les enjeux en procédant à une recension de cette thématique dans de vastes bases de données en sciences humaines.
Cette démarche nous a permis de constater des références récurrentes aux conceptions psychanalytiques de la clinique, dont nous avons interrogé la spécificité afin d’en inférer les effets en termes de pratiques sociales.
La lumière portée sur les dimensions du transfert, du symptôme, du réel et de l’éthique nous permet de discuter les soutènements d’une pratique fondée sur des données cliniques en travail social ( Clinical Based Practice in Social Work ) susceptible de répondre aux enjeux de la relation d’aide, ainsi qu’aux exigences et aux défis scientifiques de l’intervention sociale.
Les lésions traumatiques chez l’enfant peuvent être très diverses : brûlures, lésions viscérales, morsures, surtout plaies plus ou moins profondes et fractures qui sont la source de douleurs généralement intenses, chiffrées en moyenne à 4,4 sur une échelle de 0 à 10 dans une étude portant sur 55 enfants de 3 à 15 ans .
Quand faut-il traiter la douleur aux urgences ?
La douleur n’est en aucun cas une aide au diagnostic comme cela a pu être évoqué dans le cadre des syndromes douloureux aigus abdominaux.
Il est maintenant clairement admis qu’un traitement morphinique est bénéfique sur la douleur dans cette situation, sans entraîner d’erreur ou de retard au diagnostic .
Ceci était déjà acté dans des recommandations de l’Agence Nationale pour le Développement de l’Évaluation Médicale (ANDEM) de 1997, mais souvent mal appliqué.
La mise en route d’un traitement antalgique doit être la plus précoce possible de manière à traiter, mais aussi à prévenir l’inévitable exacerbation des douleurs lors de l’examen clinique, des transferts, des mobilisations et des explorations d’imagerie.
Quand cela est possible, la prise en charge de la douleur devra être débutée sur les lieux même de l’accident avant toute mobilisation .
Peut-on évaluer la douleur aux urgences ?
Même si la douleur est prise en charge de manière précoce et rapide, l’évaluation reste indispensable pour quantifier le phénomène avant d’entreprendre toute thérapeutique antalgique.
Cette évaluation devra être régulièrement répétée pour juger de l’efficacité des traitements administrés.
Elle peut se faire classiquement chez l’enfant de plus de 6 ans par des outils d’autoévaluation tels que l’échelle visuelle analogique (EVA), ou une échelle numérique qui sont généralement fiables à cet âge.
Il n’existait en revanche pas avant 2006, d’échelles d’hétéroévaluation susceptibles d’être utilisées avant 6 ans dans le cadre de l’urgence.
On avait alors recours à des scores validés en situation postopératoire (échelle CHEOPS, Objective Pain Scale ).
Nous disposons actuellement d’une échelle comportementale validée, EVENDOL, élaborée pour évaluer la douleur de l’enfant de moins de 7 ans dans le cadre de l’urgence.
La cotation fait appel à 5 items cotés de 0 à 3 (expression vocale ou verbale, mimique, mouvements, positions, relation avec l’environnement) pour un total à 15 et un seuil d’intervention thérapeutique à 4/15 .
Cette échelle peut être aussi utilisée en pré-hospitalier .
L’échelle FLACC ( Face, Legs, Activity, Cry, Consolability ), plus polyvalente, est également employée dans ce contexte .
Quelles sont les possibilités antalgiques ?
La prise en charge médicamenteuse a fait l’objet d’une revue exhaustive dans les recommandations de bonne pratique de l’Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé (AFSSAPS) en 2009 .
Elle concerne le traitement de la douleur avant chirurgie qui, si elle est nécessaire, s’effectuera au mieux sous anesthésie générale au bloc opératoire.
En cas de fracture, l’intensité douloureuse est telle qu’elle justifie une association d’antalgiques de niveaux 1 et 3.
Un antalgique de niveau 1 comme le paracétamol (15mg/kg −1 ) ou un AINS (ibuprofène oral à 20mg/kg −1 ou kétoprofène intraveineux à 1mg/kg −1 ) en monothérapie est logique en première intention mais rarement suffisant.
Bien que la biodisponibilité de ces molécules soit satisfaisante par voie orale, les délais d’action doivent faire préférer l’administration parentérale.
Lorsqu’un agent de niveau 1 est insuffisant, l’association à un médicament de niveau 2 (nalbuphine, tramadol), ou mieux de niveau 3 doit être prescrite.
De nombreuses études montrent l’intérêt de l’administration de morphine par voie orale (0,5mg/kg −1 ) et avec un moindre délai par voie intraveineuse (0,1mg/kg −1 ).
D’autres ont montré l’efficacité du fentanyl oral transmuqueux ou intranasal mais on ne dispose pas encore en France de formes galéniques adaptées.
Les délais peuvent encore être raccourcis par l’administration dès l’arrivée aux urgences d’un antalgique par une infirmière d’accueil et d’orientation, après évaluation et sans prescription médicale, sur simple protocole de service.
Cette procédure a pu être utilisée pour tous niveaux d’antalgiques y compris la morphine .[[page end]] Certaines techniques d’anesthésie locorégionale (ALR) doivent tenir une large place dans la prise en charge aux urgences et même en pré-hospitalier.
Il s’agit, pour les non anesthésistes, du bloc ilio-fascial (traumatismes du fémur et du genou) et des blocs tronculaires au poignet (traumatologie de la main), utilisant la lidocaïne.
La conduite à tenir (posologies, matériel) est précisée par 3 conférences d’experts de la Société Française d’Anesthésie et de Réanimation (SFAR) pour l’anesthésie locorégionale (ALR) de l’enfant (1997 et 2010) et pour l’ALR pratiquée par des non anesthésistes (2002) .
Si les enfants nécessitent des soins aux urgences (sutures, pansements…), des mesures de prévention des douleurs induites sont à mettre en œuvre.
L’administration de solutions sucrées hypertoniques n’a que peu de place en traumatologie, car peu puissante et généralement inefficace si l’enfant a plus 4 mois.
L’application d’anesthésiques locaux topiques (mélange eutectique de lidocaïne et prilocaïne : EMLA ® ) est efficace pour toute effraction cutanée mais il faut respecter les délais d’installation (plus de 60 minutes) de l’analgésie.
À condition que l’enfant adhère à la technique, l’inhalation d’un mélange équimolaire d’oxygène et de protoxyde d’azote (MEOPA) permet la réalisation de nombreux gestes invasifs aux urgences (mobilisations, sutures, pansements, ponctions…) avec un effet antalgique satisfaisant, rapidement installé, rapidement réversible et un excellent rapport « bénéfice/risque ».
En cas d’inefficacité du MEOPA, la kétamine, agent hypno-analgésique, procure une analgésie excellente, mais relativement brève, à doses infra-anesthésiques (0,5mg/kg −1 intraveineux).
L’utilisation de cet agent, classiquement réservé aux anesthésistes, nécessite cependant une formation (détection des complications et maîtrise des gestes d’urgence de base permettant d’assurer la ventilation).
Enfin, l’enfant peut bénéficier de techniques cognitivocomportementales (hypnose, distraction, imagerie visuelle) pour lesquelles il est particulièrement réceptif .
Conclusion La traumatologie en particulier les fractures, ouvertes ou fermées, sont la source de douleurs potentiellement intenses qu’il convient de prendre en charge le plus précocement possible.
Nous disposons, pour ceci, d’un arsenal thérapeutique efficace ainsi que de moyens d’évaluation adaptés au contexte de l’urgence et à l’âge des patients, cette évaluation étant toujours nécessaire pour quantifier la douleur et juger de l’efficacité des traitements entrepris.
INTROD UCTION L'Echo-endoscopie digestive (EED) est la seule technique capable d'associer une visualisation endoscopique et un examen ultrasonographique des parois digestives et des organes voisins.
Elle est actuellement reconnue comme la mEthode la plus precise d'imagerie locale des lesions muqueuses et sous-muqueuses ainsi que de la stadification des cancers de l'oesophage, de l'estomac, du rectum et des structures pancrEato-biliaires .
Le r61e des prE16ve-ments cytologiques et histologiques sous EED est parfaitement Etabli dans le diagnostic des tumeurs pancrEatiques, de l'envahissement nEoplasique des ganglions, du m6diastin et du role.
Plus rEcemment, FEED a rapidement accompli des progr6s dans le traitement au niveau de la sphbre abdominale au sens large .
Dans notre institution, plus de 1 000 explorations par EED sont rEalisEes chaque annEe, et les indications thErapeutiques sont passEes de moins de 1% ~ plus Les indications thErapeutiques de EED peuvent 6tre rEparties en deux groupes majeurs : l'imagerie par EED comme procEdE complEmentaire de l'endoscopie interventionnelle standard et I'EED en rant qu'intervention directe : drainage des kystes et des abcbs, drainage pancrEato-biliaire et injections thErapeutiques.
La pr6sente revue dEcrit les applications actuelles de FEED thErapeutique, les nouvelles indications et les potentialitEs futures du dEveloppement de cette technologie .
IMAGERIE PAR EED COMME COMPLEMENT DE L'END OSCOPIE THERAPEUTIQ UE Contr61e du saignement L'EED s'est r6v61Ee utile dans la localisation et la confirmation de vaisseaux hEmorragiques tels que l'ulc~re de Dieulafoy , dans l'Evaluation quantitative de l'hypertension portale ainsi que dans le contr61e des ligatures et des scldroses de varices.
Elle permet de localiser le site du saignement et de l'injection, et la recherche de vaisseaux perforants.
Elle peut mettre en dvidence et quantifier les facteurs de risque de r6cidive h6morragique.