inputs
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4.4k
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164 values
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4 values
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4 values
"Samuel et Amélie sont passionnément amoureux mais les parents d'Amélie sont contre cette relation car _ sont snobs." Remplacer le "_" dans la phrase ci-dessus par la bonne option : - "les parents d'Amélie" - "Samuel et Amélie"
les parents d'Amélie
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coreference
"Samuel et Amélie sont passionnément amoureux mais les parents d'Amélie sont contre cette relation car _ sont snobs." Remplace le "_" dans la phrase ci-dessus par la bonne option : - "les parents d'Amélie" - "Samuel et Amélie"
les parents d'Amélie
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coreference
"Samuel et Amélie sont passionnément amoureux mais les parents d'Amélie sont contre cette relation car _ sont snobs." Remplacez le "_" dans la phrase ci-dessus par la bonne option : - "les parents d'Amélie" - "Samuel et Amélie"
les parents d'Amélie
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coreference
"Samuel et Amélie sont passionnément amoureux mais les parents d'Amélie sont contre cette relation car _ sont snobs." Dans la phrase précédente, "_" fait-il référence à "les parents d'Amélie" ou "Samuel et Amélie" ?
les parents d'Amélie
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coreference
"Samuel et Amélie sont passionnément amoureux mais les parents d'Amélie sont contre cette relation car _ sont snobs." À quoi le "_" dans la phrase ci-dessus fait-il référence ? "les parents d'Amélie" ou "Samuel et Amélie" ?
les parents d'Amélie
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coreference
"Samuel et Amélie sont passionnément amoureux mais les parents d'Amélie sont contre cette relation car _ sont snobs." Le "_" dans la phrase ci-dessous fait référence à "les parents d'Amélie" - "Samuel et Amélie" ?
les parents d'Amélie
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coreference
Remplisser le "_" de la phrase suivante : "Samuel et Amélie sont passionnément amoureux mais les parents d'Amélie sont contre cette relation car _ sont snobs." Choix : - "les parents d'Amélie" - "Samuel et Amélie" Réponse :
les parents d'Amélie
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coreference
Remplis le "_" de la phrase suivante : "Samuel et Amélie sont passionnément amoureux mais les parents d'Amélie sont contre cette relation car _ sont snobs." Choix : - "les parents d'Amélie" - "Samuel et Amélie" Réponse :
les parents d'Amélie
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coreference
Remplissez le "_" de la phrase suivante : "Samuel et Amélie sont passionnément amoureux mais les parents d'Amélie sont contre cette relation car _ sont snobs." Choix : - "les parents d'Amélie" - "Samuel et Amélie" Réponse :
les parents d'Amélie
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coreference
Dans la phrase ci-dessous, le "_" renvoie-t-il à "les parents d'Amélie" ou "Samuel et Amélie" ? : Samuel et Amélie sont passionnément amoureux mais les parents d'Amélie sont contre cette relation car _ sont snobs.
les parents d'Amélie
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"Gabrielle est contente d'avoir échangé _ pull contre mon gilet. Elle pense qu'il est très démodé." Remplacer le "_" dans la phrase ci-dessus par la bonne option : - "pull" - "gilet"
pull
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coreference
"Gabrielle est contente d'avoir échangé _ pull contre mon gilet. Elle pense qu'il est très démodé." Remplace le "_" dans la phrase ci-dessus par la bonne option : - "pull" - "gilet"
pull
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coreference
"Gabrielle est contente d'avoir échangé _ pull contre mon gilet. Elle pense qu'il est très démodé." Remplacez le "_" dans la phrase ci-dessus par la bonne option : - "pull" - "gilet"
pull
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coreference
"Gabrielle est contente d'avoir échangé _ pull contre mon gilet. Elle pense qu'il est très démodé." Dans la phrase précédente, "_" fait-il référence à "pull" ou "gilet" ?
pull
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coreference
"Gabrielle est contente d'avoir échangé _ pull contre mon gilet. Elle pense qu'il est très démodé." À quoi le "_" dans la phrase ci-dessus fait-il référence ? "pull" ou "gilet" ?
pull
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coreference
"Gabrielle est contente d'avoir échangé _ pull contre mon gilet. Elle pense qu'il est très démodé." Le "_" dans la phrase ci-dessous fait référence à "pull" - "gilet" ?
pull
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coreference
Remplisser le "_" de la phrase suivante : "Gabrielle est contente d'avoir échangé _ pull contre mon gilet. Elle pense qu'il est très démodé." Choix : - "pull" - "gilet" Réponse :
pull
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coreference
Remplis le "_" de la phrase suivante : "Gabrielle est contente d'avoir échangé _ pull contre mon gilet. Elle pense qu'il est très démodé." Choix : - "pull" - "gilet" Réponse :
pull
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coreference
Remplissez le "_" de la phrase suivante : "Gabrielle est contente d'avoir échangé _ pull contre mon gilet. Elle pense qu'il est très démodé." Choix : - "pull" - "gilet" Réponse :
pull
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coreference
Dans la phrase ci-dessous, le "_" renvoie-t-il à "pull" ou "gilet" ? : Gabrielle est contente d'avoir échangé _ pull contre mon gilet. Elle pense qu'il est très démodé.
pull
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coreference
"Gabrielle est contente d'avoir échangé _ pull contre mon gilet. Elle pense qu'il est très beau." Remplacer le "_" dans la phrase ci-dessus par la bonne option : - "pull" - "gilet"
gilet
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coreference
"Gabrielle est contente d'avoir échangé _ pull contre mon gilet. Elle pense qu'il est très beau." Remplace le "_" dans la phrase ci-dessus par la bonne option : - "pull" - "gilet"
gilet
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coreference
"Gabrielle est contente d'avoir échangé _ pull contre mon gilet. Elle pense qu'il est très beau." Remplacez le "_" dans la phrase ci-dessus par la bonne option : - "pull" - "gilet"
gilet
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coreference
"Gabrielle est contente d'avoir échangé _ pull contre mon gilet. Elle pense qu'il est très beau." Dans la phrase précédente, "_" fait-il référence à "pull" ou "gilet" ?
gilet
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coreference
"Gabrielle est contente d'avoir échangé _ pull contre mon gilet. Elle pense qu'il est très beau." À quoi le "_" dans la phrase ci-dessus fait-il référence ? "pull" ou "gilet" ?
gilet
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coreference
"Gabrielle est contente d'avoir échangé _ pull contre mon gilet. Elle pense qu'il est très beau." Le "_" dans la phrase ci-dessous fait référence à "pull" - "gilet" ?
gilet
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coreference
Remplisser le "_" de la phrase suivante : "Gabrielle est contente d'avoir échangé _ pull contre mon gilet. Elle pense qu'il est très beau." Choix : - "pull" - "gilet" Réponse :
gilet
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coreference
Remplis le "_" de la phrase suivante : "Gabrielle est contente d'avoir échangé _ pull contre mon gilet. Elle pense qu'il est très beau." Choix : - "pull" - "gilet" Réponse :
gilet
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coreference
Remplissez le "_" de la phrase suivante : "Gabrielle est contente d'avoir échangé _ pull contre mon gilet. Elle pense qu'il est très beau." Choix : - "pull" - "gilet" Réponse :
gilet
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coreference
Dans la phrase ci-dessous, le "_" renvoie-t-il à "pull" ou "gilet" ? : Gabrielle est contente d'avoir échangé _ pull contre mon gilet. Elle pense qu'il est très beau.
gilet
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Commentaire : "Si vous cherchez du cinéma abrutissant à tous les étages,n'ayant aucune peur du cliché en castagnettes et moralement douteux,"From Paris with love" est fait pour vous.Toutes les productions Besson,via sa filière EuropaCorp ont de quoi faire naître la moquerie.Paris y est encore une fois montrée comme une capitale exotique,mais attention si l'on se dirige vers la banlieue,on y trouve tout plein d'intégristes musulmans prêts à faire sauter le caisson d'une ambassadrice américaine.Nauséeux.Alors on se dit qu'on va au moins pouvoir apprécier la déconnade d'un classique buddy-movie avec le jeune agent aux dents longues obligé de faire équipe avec un vieux lou complètement timbré.Mais d'un côté,on a un Jonathan Rhys-meyers fayot au possible,et de l'autre un John Travolta en total délire narcissico-badass,crâne rasé et bouc proéminent à l'appui.Sinon,il n'y a aucun scénario.Seulement,des poursuites débiles sur l'autoroute,Travolta qui étale 10 mecs à l'arme blanche en 8 mouvements(!!)ou laisse son associé se faire démolir la tronche pendant qu'il scrute à la jumelle.Ca pourrait être un plaisir coupable,tellement c'est "hénaurme",c'est juste de la daube dans la droite lignée d'un "Transporteur","Taken"ou "Banlieue 13"." Le commentaire est-il positif ou négatif ?
neg
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sentiment_analysis
Avis : " Si vous cherchez du cinéma abrutissant à tous les étages,n'ayant aucune peur du cliché en castagnettes et moralement douteux,"From Paris with love" est fait pour vous.Toutes les productions Besson,via sa filière EuropaCorp ont de quoi faire naître la moquerie.Paris y est encore une fois montrée comme une capitale exotique,mais attention si l'on se dirige vers la banlieue,on y trouve tout plein d'intégristes musulmans prêts à faire sauter le caisson d'une ambassadrice américaine.Nauséeux.Alors on se dit qu'on va au moins pouvoir apprécier la déconnade d'un classique buddy-movie avec le jeune agent aux dents longues obligé de faire équipe avec un vieux lou complètement timbré.Mais d'un côté,on a un Jonathan Rhys-meyers fayot au possible,et de l'autre un John Travolta en total délire narcissico-badass,crâne rasé et bouc proéminent à l'appui.Sinon,il n'y a aucun scénario.Seulement,des poursuites débiles sur l'autoroute,Travolta qui étale 10 mecs à l'arme blanche en 8 mouvements(!!)ou laisse son associé se faire démolir la tronche pendant qu'il scrute à la jumelle.Ca pourrait être un plaisir coupable,tellement c'est "hénaurme",c'est juste de la daube dans la droite lignée d'un "Transporteur","Taken"ou "Banlieue 13". " L'avis est-il positif ou négatif ?
neg
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Critique : "Si vous cherchez du cinéma abrutissant à tous les étages,n'ayant aucune peur du cliché en castagnettes et moralement douteux,"From Paris with love" est fait pour vous.Toutes les productions Besson,via sa filière EuropaCorp ont de quoi faire naître la moquerie.Paris y est encore une fois montrée comme une capitale exotique,mais attention si l'on se dirige vers la banlieue,on y trouve tout plein d'intégristes musulmans prêts à faire sauter le caisson d'une ambassadrice américaine.Nauséeux.Alors on se dit qu'on va au moins pouvoir apprécier la déconnade d'un classique buddy-movie avec le jeune agent aux dents longues obligé de faire équipe avec un vieux lou complètement timbré.Mais d'un côté,on a un Jonathan Rhys-meyers fayot au possible,et de l'autre un John Travolta en total délire narcissico-badass,crâne rasé et bouc proéminent à l'appui.Sinon,il n'y a aucun scénario.Seulement,des poursuites débiles sur l'autoroute,Travolta qui étale 10 mecs à l'arme blanche en 8 mouvements(!!)ou laisse son associé se faire démolir la tronche pendant qu'il scrute à la jumelle.Ca pourrait être un plaisir coupable,tellement c'est "hénaurme",c'est juste de la daube dans la droite lignée d'un "Transporteur","Taken"ou "Banlieue 13"." La critique est-elle positive ou négative ?
neg
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Evaluation : " Si vous cherchez du cinéma abrutissant à tous les étages,n'ayant aucune peur du cliché en castagnettes et moralement douteux,"From Paris with love" est fait pour vous.Toutes les productions Besson,via sa filière EuropaCorp ont de quoi faire naître la moquerie.Paris y est encore une fois montrée comme une capitale exotique,mais attention si l'on se dirige vers la banlieue,on y trouve tout plein d'intégristes musulmans prêts à faire sauter le caisson d'une ambassadrice américaine.Nauséeux.Alors on se dit qu'on va au moins pouvoir apprécier la déconnade d'un classique buddy-movie avec le jeune agent aux dents longues obligé de faire équipe avec un vieux lou complètement timbré.Mais d'un côté,on a un Jonathan Rhys-meyers fayot au possible,et de l'autre un John Travolta en total délire narcissico-badass,crâne rasé et bouc proéminent à l'appui.Sinon,il n'y a aucun scénario.Seulement,des poursuites débiles sur l'autoroute,Travolta qui étale 10 mecs à l'arme blanche en 8 mouvements(!!)ou laisse son associé se faire démolir la tronche pendant qu'il scrute à la jumelle.Ca pourrait être un plaisir coupable,tellement c'est "hénaurme",c'est juste de la daube dans la droite lignée d'un "Transporteur","Taken"ou "Banlieue 13". " L'évaluation est-elle positive ou négative ?
neg
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Ce commentaire sur le produit est-il positif ou négatif ? Commentaire : "Si vous cherchez du cinéma abrutissant à tous les étages,n'ayant aucune peur du cliché en castagnettes et moralement douteux,"From Paris with love" est fait pour vous.Toutes les productions Besson,via sa filière EuropaCorp ont de quoi faire naître la moquerie.Paris y est encore une fois montrée comme une capitale exotique,mais attention si l'on se dirige vers la banlieue,on y trouve tout plein d'intégristes musulmans prêts à faire sauter le caisson d'une ambassadrice américaine.Nauséeux.Alors on se dit qu'on va au moins pouvoir apprécier la déconnade d'un classique buddy-movie avec le jeune agent aux dents longues obligé de faire équipe avec un vieux lou complètement timbré.Mais d'un côté,on a un Jonathan Rhys-meyers fayot au possible,et de l'autre un John Travolta en total délire narcissico-badass,crâne rasé et bouc proéminent à l'appui.Sinon,il n'y a aucun scénario.Seulement,des poursuites débiles sur l'autoroute,Travolta qui étale 10 mecs à l'arme blanche en 8 mouvements(!!)ou laisse son associé se faire démolir la tronche pendant qu'il scrute à la jumelle.Ca pourrait être un plaisir coupable,tellement c'est "hénaurme",c'est juste de la daube dans la droite lignée d'un "Transporteur","Taken"ou "Banlieue 13"." Réponse :
neg
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Cet avis sur le produit est-il positif ou négatif ? Avis : "Si vous cherchez du cinéma abrutissant à tous les étages,n'ayant aucune peur du cliché en castagnettes et moralement douteux,"From Paris with love" est fait pour vous.Toutes les productions Besson,via sa filière EuropaCorp ont de quoi faire naître la moquerie.Paris y est encore une fois montrée comme une capitale exotique,mais attention si l'on se dirige vers la banlieue,on y trouve tout plein d'intégristes musulmans prêts à faire sauter le caisson d'une ambassadrice américaine.Nauséeux.Alors on se dit qu'on va au moins pouvoir apprécier la déconnade d'un classique buddy-movie avec le jeune agent aux dents longues obligé de faire équipe avec un vieux lou complètement timbré.Mais d'un côté,on a un Jonathan Rhys-meyers fayot au possible,et de l'autre un John Travolta en total délire narcissico-badass,crâne rasé et bouc proéminent à l'appui.Sinon,il n'y a aucun scénario.Seulement,des poursuites débiles sur l'autoroute,Travolta qui étale 10 mecs à l'arme blanche en 8 mouvements(!!)ou laisse son associé se faire démolir la tronche pendant qu'il scrute à la jumelle.Ca pourrait être un plaisir coupable,tellement c'est "hénaurme",c'est juste de la daube dans la droite lignée d'un "Transporteur","Taken"ou "Banlieue 13"." Réponse :
neg
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Cette critique sur le produit est-elle positive ou négative ? Critique : "Si vous cherchez du cinéma abrutissant à tous les étages,n'ayant aucune peur du cliché en castagnettes et moralement douteux,"From Paris with love" est fait pour vous.Toutes les productions Besson,via sa filière EuropaCorp ont de quoi faire naître la moquerie.Paris y est encore une fois montrée comme une capitale exotique,mais attention si l'on se dirige vers la banlieue,on y trouve tout plein d'intégristes musulmans prêts à faire sauter le caisson d'une ambassadrice américaine.Nauséeux.Alors on se dit qu'on va au moins pouvoir apprécier la déconnade d'un classique buddy-movie avec le jeune agent aux dents longues obligé de faire équipe avec un vieux lou complètement timbré.Mais d'un côté,on a un Jonathan Rhys-meyers fayot au possible,et de l'autre un John Travolta en total délire narcissico-badass,crâne rasé et bouc proéminent à l'appui.Sinon,il n'y a aucun scénario.Seulement,des poursuites débiles sur l'autoroute,Travolta qui étale 10 mecs à l'arme blanche en 8 mouvements(!!)ou laisse son associé se faire démolir la tronche pendant qu'il scrute à la jumelle.Ca pourrait être un plaisir coupable,tellement c'est "hénaurme",c'est juste de la daube dans la droite lignée d'un "Transporteur","Taken"ou "Banlieue 13"." Réponse :
neg
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Cette évaluation sur le produit est-elle positive ou négative ? Evaluation : "Si vous cherchez du cinéma abrutissant à tous les étages,n'ayant aucune peur du cliché en castagnettes et moralement douteux,"From Paris with love" est fait pour vous.Toutes les productions Besson,via sa filière EuropaCorp ont de quoi faire naître la moquerie.Paris y est encore une fois montrée comme une capitale exotique,mais attention si l'on se dirige vers la banlieue,on y trouve tout plein d'intégristes musulmans prêts à faire sauter le caisson d'une ambassadrice américaine.Nauséeux.Alors on se dit qu'on va au moins pouvoir apprécier la déconnade d'un classique buddy-movie avec le jeune agent aux dents longues obligé de faire équipe avec un vieux lou complètement timbré.Mais d'un côté,on a un Jonathan Rhys-meyers fayot au possible,et de l'autre un John Travolta en total délire narcissico-badass,crâne rasé et bouc proéminent à l'appui.Sinon,il n'y a aucun scénario.Seulement,des poursuites débiles sur l'autoroute,Travolta qui étale 10 mecs à l'arme blanche en 8 mouvements(!!)ou laisse son associé se faire démolir la tronche pendant qu'il scrute à la jumelle.Ca pourrait être un plaisir coupable,tellement c'est "hénaurme",c'est juste de la daube dans la droite lignée d'un "Transporteur","Taken"ou "Banlieue 13"." Réponse :
neg
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Commentaire : "Si vous cherchez du cinéma abrutissant à tous les étages,n'ayant aucune peur du cliché en castagnettes et moralement douteux,"From Paris with love" est fait pour vous.Toutes les productions Besson,via sa filière EuropaCorp ont de quoi faire naître la moquerie.Paris y est encore une fois montrée comme une capitale exotique,mais attention si l'on se dirige vers la banlieue,on y trouve tout plein d'intégristes musulmans prêts à faire sauter le caisson d'une ambassadrice américaine.Nauséeux.Alors on se dit qu'on va au moins pouvoir apprécier la déconnade d'un classique buddy-movie avec le jeune agent aux dents longues obligé de faire équipe avec un vieux lou complètement timbré.Mais d'un côté,on a un Jonathan Rhys-meyers fayot au possible,et de l'autre un John Travolta en total délire narcissico-badass,crâne rasé et bouc proéminent à l'appui.Sinon,il n'y a aucun scénario.Seulement,des poursuites débiles sur l'autoroute,Travolta qui étale 10 mecs à l'arme blanche en 8 mouvements(!!)ou laisse son associé se faire démolir la tronche pendant qu'il scrute à la jumelle.Ca pourrait être un plaisir coupable,tellement c'est "hénaurme",c'est juste de la daube dans la droite lignée d'un "Transporteur","Taken"ou "Banlieue 13"." Ce commentaire sur le produit exprime-t-il un sentiment négatif ou positif ?
neg
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Avis : "Si vous cherchez du cinéma abrutissant à tous les étages,n'ayant aucune peur du cliché en castagnettes et moralement douteux,"From Paris with love" est fait pour vous.Toutes les productions Besson,via sa filière EuropaCorp ont de quoi faire naître la moquerie.Paris y est encore une fois montrée comme une capitale exotique,mais attention si l'on se dirige vers la banlieue,on y trouve tout plein d'intégristes musulmans prêts à faire sauter le caisson d'une ambassadrice américaine.Nauséeux.Alors on se dit qu'on va au moins pouvoir apprécier la déconnade d'un classique buddy-movie avec le jeune agent aux dents longues obligé de faire équipe avec un vieux lou complètement timbré.Mais d'un côté,on a un Jonathan Rhys-meyers fayot au possible,et de l'autre un John Travolta en total délire narcissico-badass,crâne rasé et bouc proéminent à l'appui.Sinon,il n'y a aucun scénario.Seulement,des poursuites débiles sur l'autoroute,Travolta qui étale 10 mecs à l'arme blanche en 8 mouvements(!!)ou laisse son associé se faire démolir la tronche pendant qu'il scrute à la jumelle.Ca pourrait être un plaisir coupable,tellement c'est "hénaurme",c'est juste de la daube dans la droite lignée d'un "Transporteur","Taken"ou "Banlieue 13"." Cet avis sur le produit exprime-t-il un sentiment négatif ou positif ?
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Critique : "Si vous cherchez du cinéma abrutissant à tous les étages,n'ayant aucune peur du cliché en castagnettes et moralement douteux,"From Paris with love" est fait pour vous.Toutes les productions Besson,via sa filière EuropaCorp ont de quoi faire naître la moquerie.Paris y est encore une fois montrée comme une capitale exotique,mais attention si l'on se dirige vers la banlieue,on y trouve tout plein d'intégristes musulmans prêts à faire sauter le caisson d'une ambassadrice américaine.Nauséeux.Alors on se dit qu'on va au moins pouvoir apprécier la déconnade d'un classique buddy-movie avec le jeune agent aux dents longues obligé de faire équipe avec un vieux lou complètement timbré.Mais d'un côté,on a un Jonathan Rhys-meyers fayot au possible,et de l'autre un John Travolta en total délire narcissico-badass,crâne rasé et bouc proéminent à l'appui.Sinon,il n'y a aucun scénario.Seulement,des poursuites débiles sur l'autoroute,Travolta qui étale 10 mecs à l'arme blanche en 8 mouvements(!!)ou laisse son associé se faire démolir la tronche pendant qu'il scrute à la jumelle.Ca pourrait être un plaisir coupable,tellement c'est "hénaurme",c'est juste de la daube dans la droite lignée d'un "Transporteur","Taken"ou "Banlieue 13"." Cette critique sur le produit exprime-t-il un sentiment négatif ou positif ?
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Evaluation : "Si vous cherchez du cinéma abrutissant à tous les étages,n'ayant aucune peur du cliché en castagnettes et moralement douteux,"From Paris with love" est fait pour vous.Toutes les productions Besson,via sa filière EuropaCorp ont de quoi faire naître la moquerie.Paris y est encore une fois montrée comme une capitale exotique,mais attention si l'on se dirige vers la banlieue,on y trouve tout plein d'intégristes musulmans prêts à faire sauter le caisson d'une ambassadrice américaine.Nauséeux.Alors on se dit qu'on va au moins pouvoir apprécier la déconnade d'un classique buddy-movie avec le jeune agent aux dents longues obligé de faire équipe avec un vieux lou complètement timbré.Mais d'un côté,on a un Jonathan Rhys-meyers fayot au possible,et de l'autre un John Travolta en total délire narcissico-badass,crâne rasé et bouc proéminent à l'appui.Sinon,il n'y a aucun scénario.Seulement,des poursuites débiles sur l'autoroute,Travolta qui étale 10 mecs à l'arme blanche en 8 mouvements(!!)ou laisse son associé se faire démolir la tronche pendant qu'il scrute à la jumelle.Ca pourrait être un plaisir coupable,tellement c'est "hénaurme",c'est juste de la daube dans la droite lignée d'un "Transporteur","Taken"ou "Banlieue 13"." Cette évaluation sur le produit exprime-t-il un sentiment négatif ou positif ?
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Ce commentaire sur le produit a-t-il un ton négatif ou positif ? Commentaire : "Si vous cherchez du cinéma abrutissant à tous les étages,n'ayant aucune peur du cliché en castagnettes et moralement douteux,"From Paris with love" est fait pour vous.Toutes les productions Besson,via sa filière EuropaCorp ont de quoi faire naître la moquerie.Paris y est encore une fois montrée comme une capitale exotique,mais attention si l'on se dirige vers la banlieue,on y trouve tout plein d'intégristes musulmans prêts à faire sauter le caisson d'une ambassadrice américaine.Nauséeux.Alors on se dit qu'on va au moins pouvoir apprécier la déconnade d'un classique buddy-movie avec le jeune agent aux dents longues obligé de faire équipe avec un vieux lou complètement timbré.Mais d'un côté,on a un Jonathan Rhys-meyers fayot au possible,et de l'autre un John Travolta en total délire narcissico-badass,crâne rasé et bouc proéminent à l'appui.Sinon,il n'y a aucun scénario.Seulement,des poursuites débiles sur l'autoroute,Travolta qui étale 10 mecs à l'arme blanche en 8 mouvements(!!)ou laisse son associé se faire démolir la tronche pendant qu'il scrute à la jumelle.Ca pourrait être un plaisir coupable,tellement c'est "hénaurme",c'est juste de la daube dans la droite lignée d'un "Transporteur","Taken"ou "Banlieue 13"." Réponse :
neg
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Cet avis sur le produit a-t-il un ton négatif ou positif ? Avis : "Si vous cherchez du cinéma abrutissant à tous les étages,n'ayant aucune peur du cliché en castagnettes et moralement douteux,"From Paris with love" est fait pour vous.Toutes les productions Besson,via sa filière EuropaCorp ont de quoi faire naître la moquerie.Paris y est encore une fois montrée comme une capitale exotique,mais attention si l'on se dirige vers la banlieue,on y trouve tout plein d'intégristes musulmans prêts à faire sauter le caisson d'une ambassadrice américaine.Nauséeux.Alors on se dit qu'on va au moins pouvoir apprécier la déconnade d'un classique buddy-movie avec le jeune agent aux dents longues obligé de faire équipe avec un vieux lou complètement timbré.Mais d'un côté,on a un Jonathan Rhys-meyers fayot au possible,et de l'autre un John Travolta en total délire narcissico-badass,crâne rasé et bouc proéminent à l'appui.Sinon,il n'y a aucun scénario.Seulement,des poursuites débiles sur l'autoroute,Travolta qui étale 10 mecs à l'arme blanche en 8 mouvements(!!)ou laisse son associé se faire démolir la tronche pendant qu'il scrute à la jumelle.Ca pourrait être un plaisir coupable,tellement c'est "hénaurme",c'est juste de la daube dans la droite lignée d'un "Transporteur","Taken"ou "Banlieue 13"." Réponse :
neg
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Cette critique sur le produit a-t-il un ton négatif ou positif ? Evaluation : "Si vous cherchez du cinéma abrutissant à tous les étages,n'ayant aucune peur du cliché en castagnettes et moralement douteux,"From Paris with love" est fait pour vous.Toutes les productions Besson,via sa filière EuropaCorp ont de quoi faire naître la moquerie.Paris y est encore une fois montrée comme une capitale exotique,mais attention si l'on se dirige vers la banlieue,on y trouve tout plein d'intégristes musulmans prêts à faire sauter le caisson d'une ambassadrice américaine.Nauséeux.Alors on se dit qu'on va au moins pouvoir apprécier la déconnade d'un classique buddy-movie avec le jeune agent aux dents longues obligé de faire équipe avec un vieux lou complètement timbré.Mais d'un côté,on a un Jonathan Rhys-meyers fayot au possible,et de l'autre un John Travolta en total délire narcissico-badass,crâne rasé et bouc proéminent à l'appui.Sinon,il n'y a aucun scénario.Seulement,des poursuites débiles sur l'autoroute,Travolta qui étale 10 mecs à l'arme blanche en 8 mouvements(!!)ou laisse son associé se faire démolir la tronche pendant qu'il scrute à la jumelle.Ca pourrait être un plaisir coupable,tellement c'est "hénaurme",c'est juste de la daube dans la droite lignée d'un "Transporteur","Taken"ou "Banlieue 13"." Réponse :
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Cette évaluation sur le produit a-t-il un ton négatif ou positif ? Avis : "Si vous cherchez du cinéma abrutissant à tous les étages,n'ayant aucune peur du cliché en castagnettes et moralement douteux,"From Paris with love" est fait pour vous.Toutes les productions Besson,via sa filière EuropaCorp ont de quoi faire naître la moquerie.Paris y est encore une fois montrée comme une capitale exotique,mais attention si l'on se dirige vers la banlieue,on y trouve tout plein d'intégristes musulmans prêts à faire sauter le caisson d'une ambassadrice américaine.Nauséeux.Alors on se dit qu'on va au moins pouvoir apprécier la déconnade d'un classique buddy-movie avec le jeune agent aux dents longues obligé de faire équipe avec un vieux lou complètement timbré.Mais d'un côté,on a un Jonathan Rhys-meyers fayot au possible,et de l'autre un John Travolta en total délire narcissico-badass,crâne rasé et bouc proéminent à l'appui.Sinon,il n'y a aucun scénario.Seulement,des poursuites débiles sur l'autoroute,Travolta qui étale 10 mecs à l'arme blanche en 8 mouvements(!!)ou laisse son associé se faire démolir la tronche pendant qu'il scrute à la jumelle.Ca pourrait être un plaisir coupable,tellement c'est "hénaurme",c'est juste de la daube dans la droite lignée d'un "Transporteur","Taken"ou "Banlieue 13"." Réponse :
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Voici un commentaire laissé par un client sur un produit. Diriez-vous qu'il est négatif ou positif ? Commentaire : Si vous cherchez du cinéma abrutissant à tous les étages,n'ayant aucune peur du cliché en castagnettes et moralement douteux,"From Paris with love" est fait pour vous.Toutes les productions Besson,via sa filière EuropaCorp ont de quoi faire naître la moquerie.Paris y est encore une fois montrée comme une capitale exotique,mais attention si l'on se dirige vers la banlieue,on y trouve tout plein d'intégristes musulmans prêts à faire sauter le caisson d'une ambassadrice américaine.Nauséeux.Alors on se dit qu'on va au moins pouvoir apprécier la déconnade d'un classique buddy-movie avec le jeune agent aux dents longues obligé de faire équipe avec un vieux lou complètement timbré.Mais d'un côté,on a un Jonathan Rhys-meyers fayot au possible,et de l'autre un John Travolta en total délire narcissico-badass,crâne rasé et bouc proéminent à l'appui.Sinon,il n'y a aucun scénario.Seulement,des poursuites débiles sur l'autoroute,Travolta qui étale 10 mecs à l'arme blanche en 8 mouvements(!!)ou laisse son associé se faire démolir la tronche pendant qu'il scrute à la jumelle.Ca pourrait être un plaisir coupable,tellement c'est "hénaurme",c'est juste de la daube dans la droite lignée d'un "Transporteur","Taken"ou "Banlieue 13".
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Voici un avis laissé par un client sur un produit. Diriez-vous qu'il est négatif ou positif ? Avis : Si vous cherchez du cinéma abrutissant à tous les étages,n'ayant aucune peur du cliché en castagnettes et moralement douteux,"From Paris with love" est fait pour vous.Toutes les productions Besson,via sa filière EuropaCorp ont de quoi faire naître la moquerie.Paris y est encore une fois montrée comme une capitale exotique,mais attention si l'on se dirige vers la banlieue,on y trouve tout plein d'intégristes musulmans prêts à faire sauter le caisson d'une ambassadrice américaine.Nauséeux.Alors on se dit qu'on va au moins pouvoir apprécier la déconnade d'un classique buddy-movie avec le jeune agent aux dents longues obligé de faire équipe avec un vieux lou complètement timbré.Mais d'un côté,on a un Jonathan Rhys-meyers fayot au possible,et de l'autre un John Travolta en total délire narcissico-badass,crâne rasé et bouc proéminent à l'appui.Sinon,il n'y a aucun scénario.Seulement,des poursuites débiles sur l'autoroute,Travolta qui étale 10 mecs à l'arme blanche en 8 mouvements(!!)ou laisse son associé se faire démolir la tronche pendant qu'il scrute à la jumelle.Ca pourrait être un plaisir coupable,tellement c'est "hénaurme",c'est juste de la daube dans la droite lignée d'un "Transporteur","Taken"ou "Banlieue 13".
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Voici une critique laissée par un client sur un produit. Diriez-vous qu'elle est négative ou positive ? Critique : Si vous cherchez du cinéma abrutissant à tous les étages,n'ayant aucune peur du cliché en castagnettes et moralement douteux,"From Paris with love" est fait pour vous.Toutes les productions Besson,via sa filière EuropaCorp ont de quoi faire naître la moquerie.Paris y est encore une fois montrée comme une capitale exotique,mais attention si l'on se dirige vers la banlieue,on y trouve tout plein d'intégristes musulmans prêts à faire sauter le caisson d'une ambassadrice américaine.Nauséeux.Alors on se dit qu'on va au moins pouvoir apprécier la déconnade d'un classique buddy-movie avec le jeune agent aux dents longues obligé de faire équipe avec un vieux lou complètement timbré.Mais d'un côté,on a un Jonathan Rhys-meyers fayot au possible,et de l'autre un John Travolta en total délire narcissico-badass,crâne rasé et bouc proéminent à l'appui.Sinon,il n'y a aucun scénario.Seulement,des poursuites débiles sur l'autoroute,Travolta qui étale 10 mecs à l'arme blanche en 8 mouvements(!!)ou laisse son associé se faire démolir la tronche pendant qu'il scrute à la jumelle.Ca pourrait être un plaisir coupable,tellement c'est "hénaurme",c'est juste de la daube dans la droite lignée d'un "Transporteur","Taken"ou "Banlieue 13".
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Voici une évaluation laissée par un client sur un produit. Diriez-vous qu'elle est négative ou positive ? Evaluation : Si vous cherchez du cinéma abrutissant à tous les étages,n'ayant aucune peur du cliché en castagnettes et moralement douteux,"From Paris with love" est fait pour vous.Toutes les productions Besson,via sa filière EuropaCorp ont de quoi faire naître la moquerie.Paris y est encore une fois montrée comme une capitale exotique,mais attention si l'on se dirige vers la banlieue,on y trouve tout plein d'intégristes musulmans prêts à faire sauter le caisson d'une ambassadrice américaine.Nauséeux.Alors on se dit qu'on va au moins pouvoir apprécier la déconnade d'un classique buddy-movie avec le jeune agent aux dents longues obligé de faire équipe avec un vieux lou complètement timbré.Mais d'un côté,on a un Jonathan Rhys-meyers fayot au possible,et de l'autre un John Travolta en total délire narcissico-badass,crâne rasé et bouc proéminent à l'appui.Sinon,il n'y a aucun scénario.Seulement,des poursuites débiles sur l'autoroute,Travolta qui étale 10 mecs à l'arme blanche en 8 mouvements(!!)ou laisse son associé se faire démolir la tronche pendant qu'il scrute à la jumelle.Ca pourrait être un plaisir coupable,tellement c'est "hénaurme",c'est juste de la daube dans la droite lignée d'un "Transporteur","Taken"ou "Banlieue 13".
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Commentaire du produit : "Si vous cherchez du cinéma abrutissant à tous les étages,n'ayant aucune peur du cliché en castagnettes et moralement douteux,"From Paris with love" est fait pour vous.Toutes les productions Besson,via sa filière EuropaCorp ont de quoi faire naître la moquerie.Paris y est encore une fois montrée comme une capitale exotique,mais attention si l'on se dirige vers la banlieue,on y trouve tout plein d'intégristes musulmans prêts à faire sauter le caisson d'une ambassadrice américaine.Nauséeux.Alors on se dit qu'on va au moins pouvoir apprécier la déconnade d'un classique buddy-movie avec le jeune agent aux dents longues obligé de faire équipe avec un vieux lou complètement timbré.Mais d'un côté,on a un Jonathan Rhys-meyers fayot au possible,et de l'autre un John Travolta en total délire narcissico-badass,crâne rasé et bouc proéminent à l'appui.Sinon,il n'y a aucun scénario.Seulement,des poursuites débiles sur l'autoroute,Travolta qui étale 10 mecs à l'arme blanche en 8 mouvements(!!)ou laisse son associé se faire démolir la tronche pendant qu'il scrute à la jumelle.Ca pourrait être un plaisir coupable,tellement c'est "hénaurme",c'est juste de la daube dans la droite lignée d'un "Transporteur","Taken"ou "Banlieue 13"." Ce commentaire dépeint le produit sous un angle négatif ou positif ?
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Avis du produit : "Si vous cherchez du cinéma abrutissant à tous les étages,n'ayant aucune peur du cliché en castagnettes et moralement douteux,"From Paris with love" est fait pour vous.Toutes les productions Besson,via sa filière EuropaCorp ont de quoi faire naître la moquerie.Paris y est encore une fois montrée comme une capitale exotique,mais attention si l'on se dirige vers la banlieue,on y trouve tout plein d'intégristes musulmans prêts à faire sauter le caisson d'une ambassadrice américaine.Nauséeux.Alors on se dit qu'on va au moins pouvoir apprécier la déconnade d'un classique buddy-movie avec le jeune agent aux dents longues obligé de faire équipe avec un vieux lou complètement timbré.Mais d'un côté,on a un Jonathan Rhys-meyers fayot au possible,et de l'autre un John Travolta en total délire narcissico-badass,crâne rasé et bouc proéminent à l'appui.Sinon,il n'y a aucun scénario.Seulement,des poursuites débiles sur l'autoroute,Travolta qui étale 10 mecs à l'arme blanche en 8 mouvements(!!)ou laisse son associé se faire démolir la tronche pendant qu'il scrute à la jumelle.Ca pourrait être un plaisir coupable,tellement c'est "hénaurme",c'est juste de la daube dans la droite lignée d'un "Transporteur","Taken"ou "Banlieue 13"." Cet avis dépeint le produit sous un angle négatif ou positif ?
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Critique du produit : "Si vous cherchez du cinéma abrutissant à tous les étages,n'ayant aucune peur du cliché en castagnettes et moralement douteux,"From Paris with love" est fait pour vous.Toutes les productions Besson,via sa filière EuropaCorp ont de quoi faire naître la moquerie.Paris y est encore une fois montrée comme une capitale exotique,mais attention si l'on se dirige vers la banlieue,on y trouve tout plein d'intégristes musulmans prêts à faire sauter le caisson d'une ambassadrice américaine.Nauséeux.Alors on se dit qu'on va au moins pouvoir apprécier la déconnade d'un classique buddy-movie avec le jeune agent aux dents longues obligé de faire équipe avec un vieux lou complètement timbré.Mais d'un côté,on a un Jonathan Rhys-meyers fayot au possible,et de l'autre un John Travolta en total délire narcissico-badass,crâne rasé et bouc proéminent à l'appui.Sinon,il n'y a aucun scénario.Seulement,des poursuites débiles sur l'autoroute,Travolta qui étale 10 mecs à l'arme blanche en 8 mouvements(!!)ou laisse son associé se faire démolir la tronche pendant qu'il scrute à la jumelle.Ca pourrait être un plaisir coupable,tellement c'est "hénaurme",c'est juste de la daube dans la droite lignée d'un "Transporteur","Taken"ou "Banlieue 13"." Cette critique dépeint le produit sous un angle négatif ou positif ?
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Evaluation du produit : "Si vous cherchez du cinéma abrutissant à tous les étages,n'ayant aucune peur du cliché en castagnettes et moralement douteux,"From Paris with love" est fait pour vous.Toutes les productions Besson,via sa filière EuropaCorp ont de quoi faire naître la moquerie.Paris y est encore une fois montrée comme une capitale exotique,mais attention si l'on se dirige vers la banlieue,on y trouve tout plein d'intégristes musulmans prêts à faire sauter le caisson d'une ambassadrice américaine.Nauséeux.Alors on se dit qu'on va au moins pouvoir apprécier la déconnade d'un classique buddy-movie avec le jeune agent aux dents longues obligé de faire équipe avec un vieux lou complètement timbré.Mais d'un côté,on a un Jonathan Rhys-meyers fayot au possible,et de l'autre un John Travolta en total délire narcissico-badass,crâne rasé et bouc proéminent à l'appui.Sinon,il n'y a aucun scénario.Seulement,des poursuites débiles sur l'autoroute,Travolta qui étale 10 mecs à l'arme blanche en 8 mouvements(!!)ou laisse son associé se faire démolir la tronche pendant qu'il scrute à la jumelle.Ca pourrait être un plaisir coupable,tellement c'est "hénaurme",c'est juste de la daube dans la droite lignée d'un "Transporteur","Taken"ou "Banlieue 13"." Cette évaluation dépeint le produit sous un angle négatif ou positif ?
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Le commentaire suivant exprime quel sentiment ? CommentaireSi vous cherchez du cinéma abrutissant à tous les étages,n'ayant aucune peur du cliché en castagnettes et moralement douteux,"From Paris with love" est fait pour vous.Toutes les productions Besson,via sa filière EuropaCorp ont de quoi faire naître la moquerie.Paris y est encore une fois montrée comme une capitale exotique,mais attention si l'on se dirige vers la banlieue,on y trouve tout plein d'intégristes musulmans prêts à faire sauter le caisson d'une ambassadrice américaine.Nauséeux.Alors on se dit qu'on va au moins pouvoir apprécier la déconnade d'un classique buddy-movie avec le jeune agent aux dents longues obligé de faire équipe avec un vieux lou complètement timbré.Mais d'un côté,on a un Jonathan Rhys-meyers fayot au possible,et de l'autre un John Travolta en total délire narcissico-badass,crâne rasé et bouc proéminent à l'appui.Sinon,il n'y a aucun scénario.Seulement,des poursuites débiles sur l'autoroute,Travolta qui étale 10 mecs à l'arme blanche en 8 mouvements(!!)ou laisse son associé se faire démolir la tronche pendant qu'il scrute à la jumelle.Ca pourrait être un plaisir coupable,tellement c'est "hénaurme",c'est juste de la daube dans la droite lignée d'un "Transporteur","Taken"ou "Banlieue 13".
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L'avis suivant exprime quel sentiment ? AvisSi vous cherchez du cinéma abrutissant à tous les étages,n'ayant aucune peur du cliché en castagnettes et moralement douteux,"From Paris with love" est fait pour vous.Toutes les productions Besson,via sa filière EuropaCorp ont de quoi faire naître la moquerie.Paris y est encore une fois montrée comme une capitale exotique,mais attention si l'on se dirige vers la banlieue,on y trouve tout plein d'intégristes musulmans prêts à faire sauter le caisson d'une ambassadrice américaine.Nauséeux.Alors on se dit qu'on va au moins pouvoir apprécier la déconnade d'un classique buddy-movie avec le jeune agent aux dents longues obligé de faire équipe avec un vieux lou complètement timbré.Mais d'un côté,on a un Jonathan Rhys-meyers fayot au possible,et de l'autre un John Travolta en total délire narcissico-badass,crâne rasé et bouc proéminent à l'appui.Sinon,il n'y a aucun scénario.Seulement,des poursuites débiles sur l'autoroute,Travolta qui étale 10 mecs à l'arme blanche en 8 mouvements(!!)ou laisse son associé se faire démolir la tronche pendant qu'il scrute à la jumelle.Ca pourrait être un plaisir coupable,tellement c'est "hénaurme",c'est juste de la daube dans la droite lignée d'un "Transporteur","Taken"ou "Banlieue 13".
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La critique suivante exprime quel sentiment ? CritiqueSi vous cherchez du cinéma abrutissant à tous les étages,n'ayant aucune peur du cliché en castagnettes et moralement douteux,"From Paris with love" est fait pour vous.Toutes les productions Besson,via sa filière EuropaCorp ont de quoi faire naître la moquerie.Paris y est encore une fois montrée comme une capitale exotique,mais attention si l'on se dirige vers la banlieue,on y trouve tout plein d'intégristes musulmans prêts à faire sauter le caisson d'une ambassadrice américaine.Nauséeux.Alors on se dit qu'on va au moins pouvoir apprécier la déconnade d'un classique buddy-movie avec le jeune agent aux dents longues obligé de faire équipe avec un vieux lou complètement timbré.Mais d'un côté,on a un Jonathan Rhys-meyers fayot au possible,et de l'autre un John Travolta en total délire narcissico-badass,crâne rasé et bouc proéminent à l'appui.Sinon,il n'y a aucun scénario.Seulement,des poursuites débiles sur l'autoroute,Travolta qui étale 10 mecs à l'arme blanche en 8 mouvements(!!)ou laisse son associé se faire démolir la tronche pendant qu'il scrute à la jumelle.Ca pourrait être un plaisir coupable,tellement c'est "hénaurme",c'est juste de la daube dans la droite lignée d'un "Transporteur","Taken"ou "Banlieue 13".
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Commentaire : "Trash, re-trash et re-re-trash...! Une horreur sans nom. Imaginez-vous les 20 premières minutes de Orange Mécanique dilatées sur plus de 70 minutes de bande VHS pourrave et revisitées par Korine à la sauce années 2000 : les dandys-punk de Kubrick ont laissé place à des papys lubriques déguisés en sacs-poubelles forniquant les troncs d'arbres, le dispositif esthétique se résume à du filmage-réalité enfilant des scènes de destruction, de soumission, de pornographie ou encore de maltraitance ( youtube, youtube et re-youtube...) et la bande-son se limite à des ricanements malades, des rengaines obsédantes et limitées, de la logorrhée sans queue ni tête surgissant par bribes poétiques ( hummm....) et des explosions de pétard et de débris. Sur le plan émotionnel c'est une réussite complète puisque Korine parvient - avec une économie de moyens évidente dès les premières secondes - à flanquer un malaise d'une rare intensité en reprenant tout un pan des codes du porno-trash voire du snuff-movie. Mais c'est trop. Beaucoup trop. A tel point que cet objet bizarre à plus d'un niveau dérange ad nauseam et ne séduit jamais, même dans son incontestable maîtrise de la caméra et de son langage. Une sorte de Gummo sans l'inspiration ni l'ampleur. Quelque chose d'affreusement délétère se dégage de cette vidéo hallucinante et hallucinée, mise en images d'une bande d'idiots consanguins perdue dans un pitoyable autodafé white trash. Autant revoir le chef d'oeuvre de Lars Von Trier qui - au moins - avait quelque chose à transmettre... Efficace mais profondément débile et perturbant." Le commentaire est-il positif ou négatif ?
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Avis : " Trash, re-trash et re-re-trash...! Une horreur sans nom. Imaginez-vous les 20 premières minutes de Orange Mécanique dilatées sur plus de 70 minutes de bande VHS pourrave et revisitées par Korine à la sauce années 2000 : les dandys-punk de Kubrick ont laissé place à des papys lubriques déguisés en sacs-poubelles forniquant les troncs d'arbres, le dispositif esthétique se résume à du filmage-réalité enfilant des scènes de destruction, de soumission, de pornographie ou encore de maltraitance ( youtube, youtube et re-youtube...) et la bande-son se limite à des ricanements malades, des rengaines obsédantes et limitées, de la logorrhée sans queue ni tête surgissant par bribes poétiques ( hummm....) et des explosions de pétard et de débris. Sur le plan émotionnel c'est une réussite complète puisque Korine parvient - avec une économie de moyens évidente dès les premières secondes - à flanquer un malaise d'une rare intensité en reprenant tout un pan des codes du porno-trash voire du snuff-movie. Mais c'est trop. Beaucoup trop. A tel point que cet objet bizarre à plus d'un niveau dérange ad nauseam et ne séduit jamais, même dans son incontestable maîtrise de la caméra et de son langage. Une sorte de Gummo sans l'inspiration ni l'ampleur. Quelque chose d'affreusement délétère se dégage de cette vidéo hallucinante et hallucinée, mise en images d'une bande d'idiots consanguins perdue dans un pitoyable autodafé white trash. Autant revoir le chef d'oeuvre de Lars Von Trier qui - au moins - avait quelque chose à transmettre... Efficace mais profondément débile et perturbant. " L'avis est-il positif ou négatif ?
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Critique : "Trash, re-trash et re-re-trash...! Une horreur sans nom. Imaginez-vous les 20 premières minutes de Orange Mécanique dilatées sur plus de 70 minutes de bande VHS pourrave et revisitées par Korine à la sauce années 2000 : les dandys-punk de Kubrick ont laissé place à des papys lubriques déguisés en sacs-poubelles forniquant les troncs d'arbres, le dispositif esthétique se résume à du filmage-réalité enfilant des scènes de destruction, de soumission, de pornographie ou encore de maltraitance ( youtube, youtube et re-youtube...) et la bande-son se limite à des ricanements malades, des rengaines obsédantes et limitées, de la logorrhée sans queue ni tête surgissant par bribes poétiques ( hummm....) et des explosions de pétard et de débris. Sur le plan émotionnel c'est une réussite complète puisque Korine parvient - avec une économie de moyens évidente dès les premières secondes - à flanquer un malaise d'une rare intensité en reprenant tout un pan des codes du porno-trash voire du snuff-movie. Mais c'est trop. Beaucoup trop. A tel point que cet objet bizarre à plus d'un niveau dérange ad nauseam et ne séduit jamais, même dans son incontestable maîtrise de la caméra et de son langage. Une sorte de Gummo sans l'inspiration ni l'ampleur. Quelque chose d'affreusement délétère se dégage de cette vidéo hallucinante et hallucinée, mise en images d'une bande d'idiots consanguins perdue dans un pitoyable autodafé white trash. Autant revoir le chef d'oeuvre de Lars Von Trier qui - au moins - avait quelque chose à transmettre... Efficace mais profondément débile et perturbant." La critique est-elle positive ou négative ?
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Evaluation : " Trash, re-trash et re-re-trash...! Une horreur sans nom. Imaginez-vous les 20 premières minutes de Orange Mécanique dilatées sur plus de 70 minutes de bande VHS pourrave et revisitées par Korine à la sauce années 2000 : les dandys-punk de Kubrick ont laissé place à des papys lubriques déguisés en sacs-poubelles forniquant les troncs d'arbres, le dispositif esthétique se résume à du filmage-réalité enfilant des scènes de destruction, de soumission, de pornographie ou encore de maltraitance ( youtube, youtube et re-youtube...) et la bande-son se limite à des ricanements malades, des rengaines obsédantes et limitées, de la logorrhée sans queue ni tête surgissant par bribes poétiques ( hummm....) et des explosions de pétard et de débris. Sur le plan émotionnel c'est une réussite complète puisque Korine parvient - avec une économie de moyens évidente dès les premières secondes - à flanquer un malaise d'une rare intensité en reprenant tout un pan des codes du porno-trash voire du snuff-movie. Mais c'est trop. Beaucoup trop. A tel point que cet objet bizarre à plus d'un niveau dérange ad nauseam et ne séduit jamais, même dans son incontestable maîtrise de la caméra et de son langage. Une sorte de Gummo sans l'inspiration ni l'ampleur. Quelque chose d'affreusement délétère se dégage de cette vidéo hallucinante et hallucinée, mise en images d'une bande d'idiots consanguins perdue dans un pitoyable autodafé white trash. Autant revoir le chef d'oeuvre de Lars Von Trier qui - au moins - avait quelque chose à transmettre... Efficace mais profondément débile et perturbant. " L'évaluation est-elle positive ou négative ?
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Ce commentaire sur le produit est-il positif ou négatif ? Commentaire : "Trash, re-trash et re-re-trash...! Une horreur sans nom. Imaginez-vous les 20 premières minutes de Orange Mécanique dilatées sur plus de 70 minutes de bande VHS pourrave et revisitées par Korine à la sauce années 2000 : les dandys-punk de Kubrick ont laissé place à des papys lubriques déguisés en sacs-poubelles forniquant les troncs d'arbres, le dispositif esthétique se résume à du filmage-réalité enfilant des scènes de destruction, de soumission, de pornographie ou encore de maltraitance ( youtube, youtube et re-youtube...) et la bande-son se limite à des ricanements malades, des rengaines obsédantes et limitées, de la logorrhée sans queue ni tête surgissant par bribes poétiques ( hummm....) et des explosions de pétard et de débris. Sur le plan émotionnel c'est une réussite complète puisque Korine parvient - avec une économie de moyens évidente dès les premières secondes - à flanquer un malaise d'une rare intensité en reprenant tout un pan des codes du porno-trash voire du snuff-movie. Mais c'est trop. Beaucoup trop. A tel point que cet objet bizarre à plus d'un niveau dérange ad nauseam et ne séduit jamais, même dans son incontestable maîtrise de la caméra et de son langage. Une sorte de Gummo sans l'inspiration ni l'ampleur. Quelque chose d'affreusement délétère se dégage de cette vidéo hallucinante et hallucinée, mise en images d'une bande d'idiots consanguins perdue dans un pitoyable autodafé white trash. Autant revoir le chef d'oeuvre de Lars Von Trier qui - au moins - avait quelque chose à transmettre... Efficace mais profondément débile et perturbant." Réponse :
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Cet avis sur le produit est-il positif ou négatif ? Avis : "Trash, re-trash et re-re-trash...! Une horreur sans nom. Imaginez-vous les 20 premières minutes de Orange Mécanique dilatées sur plus de 70 minutes de bande VHS pourrave et revisitées par Korine à la sauce années 2000 : les dandys-punk de Kubrick ont laissé place à des papys lubriques déguisés en sacs-poubelles forniquant les troncs d'arbres, le dispositif esthétique se résume à du filmage-réalité enfilant des scènes de destruction, de soumission, de pornographie ou encore de maltraitance ( youtube, youtube et re-youtube...) et la bande-son se limite à des ricanements malades, des rengaines obsédantes et limitées, de la logorrhée sans queue ni tête surgissant par bribes poétiques ( hummm....) et des explosions de pétard et de débris. Sur le plan émotionnel c'est une réussite complète puisque Korine parvient - avec une économie de moyens évidente dès les premières secondes - à flanquer un malaise d'une rare intensité en reprenant tout un pan des codes du porno-trash voire du snuff-movie. Mais c'est trop. Beaucoup trop. A tel point que cet objet bizarre à plus d'un niveau dérange ad nauseam et ne séduit jamais, même dans son incontestable maîtrise de la caméra et de son langage. Une sorte de Gummo sans l'inspiration ni l'ampleur. Quelque chose d'affreusement délétère se dégage de cette vidéo hallucinante et hallucinée, mise en images d'une bande d'idiots consanguins perdue dans un pitoyable autodafé white trash. Autant revoir le chef d'oeuvre de Lars Von Trier qui - au moins - avait quelque chose à transmettre... Efficace mais profondément débile et perturbant." Réponse :
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Cette évaluation sur le produit est-elle positive ou négative ? Evaluation : "Trash, re-trash et re-re-trash...! Une horreur sans nom. Imaginez-vous les 20 premières minutes de Orange Mécanique dilatées sur plus de 70 minutes de bande VHS pourrave et revisitées par Korine à la sauce années 2000 : les dandys-punk de Kubrick ont laissé place à des papys lubriques déguisés en sacs-poubelles forniquant les troncs d'arbres, le dispositif esthétique se résume à du filmage-réalité enfilant des scènes de destruction, de soumission, de pornographie ou encore de maltraitance ( youtube, youtube et re-youtube...) et la bande-son se limite à des ricanements malades, des rengaines obsédantes et limitées, de la logorrhée sans queue ni tête surgissant par bribes poétiques ( hummm....) et des explosions de pétard et de débris. Sur le plan émotionnel c'est une réussite complète puisque Korine parvient - avec une économie de moyens évidente dès les premières secondes - à flanquer un malaise d'une rare intensité en reprenant tout un pan des codes du porno-trash voire du snuff-movie. Mais c'est trop. Beaucoup trop. A tel point que cet objet bizarre à plus d'un niveau dérange ad nauseam et ne séduit jamais, même dans son incontestable maîtrise de la caméra et de son langage. Une sorte de Gummo sans l'inspiration ni l'ampleur. Quelque chose d'affreusement délétère se dégage de cette vidéo hallucinante et hallucinée, mise en images d'une bande d'idiots consanguins perdue dans un pitoyable autodafé white trash. Autant revoir le chef d'oeuvre de Lars Von Trier qui - au moins - avait quelque chose à transmettre... Efficace mais profondément débile et perturbant." Réponse :
neg
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Commentaire : "Trash, re-trash et re-re-trash...! Une horreur sans nom. Imaginez-vous les 20 premières minutes de Orange Mécanique dilatées sur plus de 70 minutes de bande VHS pourrave et revisitées par Korine à la sauce années 2000 : les dandys-punk de Kubrick ont laissé place à des papys lubriques déguisés en sacs-poubelles forniquant les troncs d'arbres, le dispositif esthétique se résume à du filmage-réalité enfilant des scènes de destruction, de soumission, de pornographie ou encore de maltraitance ( youtube, youtube et re-youtube...) et la bande-son se limite à des ricanements malades, des rengaines obsédantes et limitées, de la logorrhée sans queue ni tête surgissant par bribes poétiques ( hummm....) et des explosions de pétard et de débris. Sur le plan émotionnel c'est une réussite complète puisque Korine parvient - avec une économie de moyens évidente dès les premières secondes - à flanquer un malaise d'une rare intensité en reprenant tout un pan des codes du porno-trash voire du snuff-movie. Mais c'est trop. Beaucoup trop. A tel point que cet objet bizarre à plus d'un niveau dérange ad nauseam et ne séduit jamais, même dans son incontestable maîtrise de la caméra et de son langage. Une sorte de Gummo sans l'inspiration ni l'ampleur. Quelque chose d'affreusement délétère se dégage de cette vidéo hallucinante et hallucinée, mise en images d'une bande d'idiots consanguins perdue dans un pitoyable autodafé white trash. Autant revoir le chef d'oeuvre de Lars Von Trier qui - au moins - avait quelque chose à transmettre... Efficace mais profondément débile et perturbant." Ce commentaire sur le produit exprime-t-il un sentiment négatif ou positif ?
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Avis : "Trash, re-trash et re-re-trash...! Une horreur sans nom. Imaginez-vous les 20 premières minutes de Orange Mécanique dilatées sur plus de 70 minutes de bande VHS pourrave et revisitées par Korine à la sauce années 2000 : les dandys-punk de Kubrick ont laissé place à des papys lubriques déguisés en sacs-poubelles forniquant les troncs d'arbres, le dispositif esthétique se résume à du filmage-réalité enfilant des scènes de destruction, de soumission, de pornographie ou encore de maltraitance ( youtube, youtube et re-youtube...) et la bande-son se limite à des ricanements malades, des rengaines obsédantes et limitées, de la logorrhée sans queue ni tête surgissant par bribes poétiques ( hummm....) et des explosions de pétard et de débris. Sur le plan émotionnel c'est une réussite complète puisque Korine parvient - avec une économie de moyens évidente dès les premières secondes - à flanquer un malaise d'une rare intensité en reprenant tout un pan des codes du porno-trash voire du snuff-movie. Mais c'est trop. Beaucoup trop. A tel point que cet objet bizarre à plus d'un niveau dérange ad nauseam et ne séduit jamais, même dans son incontestable maîtrise de la caméra et de son langage. Une sorte de Gummo sans l'inspiration ni l'ampleur. Quelque chose d'affreusement délétère se dégage de cette vidéo hallucinante et hallucinée, mise en images d'une bande d'idiots consanguins perdue dans un pitoyable autodafé white trash. Autant revoir le chef d'oeuvre de Lars Von Trier qui - au moins - avait quelque chose à transmettre... Efficace mais profondément débile et perturbant." Cet avis sur le produit exprime-t-il un sentiment négatif ou positif ?
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Critique : "Trash, re-trash et re-re-trash...! Une horreur sans nom. Imaginez-vous les 20 premières minutes de Orange Mécanique dilatées sur plus de 70 minutes de bande VHS pourrave et revisitées par Korine à la sauce années 2000 : les dandys-punk de Kubrick ont laissé place à des papys lubriques déguisés en sacs-poubelles forniquant les troncs d'arbres, le dispositif esthétique se résume à du filmage-réalité enfilant des scènes de destruction, de soumission, de pornographie ou encore de maltraitance ( youtube, youtube et re-youtube...) et la bande-son se limite à des ricanements malades, des rengaines obsédantes et limitées, de la logorrhée sans queue ni tête surgissant par bribes poétiques ( hummm....) et des explosions de pétard et de débris. Sur le plan émotionnel c'est une réussite complète puisque Korine parvient - avec une économie de moyens évidente dès les premières secondes - à flanquer un malaise d'une rare intensité en reprenant tout un pan des codes du porno-trash voire du snuff-movie. Mais c'est trop. Beaucoup trop. A tel point que cet objet bizarre à plus d'un niveau dérange ad nauseam et ne séduit jamais, même dans son incontestable maîtrise de la caméra et de son langage. Une sorte de Gummo sans l'inspiration ni l'ampleur. Quelque chose d'affreusement délétère se dégage de cette vidéo hallucinante et hallucinée, mise en images d'une bande d'idiots consanguins perdue dans un pitoyable autodafé white trash. Autant revoir le chef d'oeuvre de Lars Von Trier qui - au moins - avait quelque chose à transmettre... Efficace mais profondément débile et perturbant." Cette critique sur le produit exprime-t-il un sentiment négatif ou positif ?
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Ce commentaire sur le produit a-t-il un ton négatif ou positif ? Commentaire : "Trash, re-trash et re-re-trash...! Une horreur sans nom. Imaginez-vous les 20 premières minutes de Orange Mécanique dilatées sur plus de 70 minutes de bande VHS pourrave et revisitées par Korine à la sauce années 2000 : les dandys-punk de Kubrick ont laissé place à des papys lubriques déguisés en sacs-poubelles forniquant les troncs d'arbres, le dispositif esthétique se résume à du filmage-réalité enfilant des scènes de destruction, de soumission, de pornographie ou encore de maltraitance ( youtube, youtube et re-youtube...) et la bande-son se limite à des ricanements malades, des rengaines obsédantes et limitées, de la logorrhée sans queue ni tête surgissant par bribes poétiques ( hummm....) et des explosions de pétard et de débris. Sur le plan émotionnel c'est une réussite complète puisque Korine parvient - avec une économie de moyens évidente dès les premières secondes - à flanquer un malaise d'une rare intensité en reprenant tout un pan des codes du porno-trash voire du snuff-movie. Mais c'est trop. Beaucoup trop. A tel point que cet objet bizarre à plus d'un niveau dérange ad nauseam et ne séduit jamais, même dans son incontestable maîtrise de la caméra et de son langage. Une sorte de Gummo sans l'inspiration ni l'ampleur. Quelque chose d'affreusement délétère se dégage de cette vidéo hallucinante et hallucinée, mise en images d'une bande d'idiots consanguins perdue dans un pitoyable autodafé white trash. Autant revoir le chef d'oeuvre de Lars Von Trier qui - au moins - avait quelque chose à transmettre... Efficace mais profondément débile et perturbant." Réponse :
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Voici un commentaire laissé par un client sur un produit. Diriez-vous qu'il est négatif ou positif ? Commentaire : Trash, re-trash et re-re-trash...! Une horreur sans nom. Imaginez-vous les 20 premières minutes de Orange Mécanique dilatées sur plus de 70 minutes de bande VHS pourrave et revisitées par Korine à la sauce années 2000 : les dandys-punk de Kubrick ont laissé place à des papys lubriques déguisés en sacs-poubelles forniquant les troncs d'arbres, le dispositif esthétique se résume à du filmage-réalité enfilant des scènes de destruction, de soumission, de pornographie ou encore de maltraitance ( youtube, youtube et re-youtube...) et la bande-son se limite à des ricanements malades, des rengaines obsédantes et limitées, de la logorrhée sans queue ni tête surgissant par bribes poétiques ( hummm....) et des explosions de pétard et de débris. Sur le plan émotionnel c'est une réussite complète puisque Korine parvient - avec une économie de moyens évidente dès les premières secondes - à flanquer un malaise d'une rare intensité en reprenant tout un pan des codes du porno-trash voire du snuff-movie. Mais c'est trop. Beaucoup trop. A tel point que cet objet bizarre à plus d'un niveau dérange ad nauseam et ne séduit jamais, même dans son incontestable maîtrise de la caméra et de son langage. Une sorte de Gummo sans l'inspiration ni l'ampleur. Quelque chose d'affreusement délétère se dégage de cette vidéo hallucinante et hallucinée, mise en images d'une bande d'idiots consanguins perdue dans un pitoyable autodafé white trash. Autant revoir le chef d'oeuvre de Lars Von Trier qui - au moins - avait quelque chose à transmettre... Efficace mais profondément débile et perturbant.
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Voici une critique laissée par un client sur un produit. Diriez-vous qu'elle est négative ou positive ? Critique : Trash, re-trash et re-re-trash...! Une horreur sans nom. Imaginez-vous les 20 premières minutes de Orange Mécanique dilatées sur plus de 70 minutes de bande VHS pourrave et revisitées par Korine à la sauce années 2000 : les dandys-punk de Kubrick ont laissé place à des papys lubriques déguisés en sacs-poubelles forniquant les troncs d'arbres, le dispositif esthétique se résume à du filmage-réalité enfilant des scènes de destruction, de soumission, de pornographie ou encore de maltraitance ( youtube, youtube et re-youtube...) et la bande-son se limite à des ricanements malades, des rengaines obsédantes et limitées, de la logorrhée sans queue ni tête surgissant par bribes poétiques ( hummm....) et des explosions de pétard et de débris. Sur le plan émotionnel c'est une réussite complète puisque Korine parvient - avec une économie de moyens évidente dès les premières secondes - à flanquer un malaise d'une rare intensité en reprenant tout un pan des codes du porno-trash voire du snuff-movie. Mais c'est trop. Beaucoup trop. A tel point que cet objet bizarre à plus d'un niveau dérange ad nauseam et ne séduit jamais, même dans son incontestable maîtrise de la caméra et de son langage. Une sorte de Gummo sans l'inspiration ni l'ampleur. Quelque chose d'affreusement délétère se dégage de cette vidéo hallucinante et hallucinée, mise en images d'une bande d'idiots consanguins perdue dans un pitoyable autodafé white trash. Autant revoir le chef d'oeuvre de Lars Von Trier qui - au moins - avait quelque chose à transmettre... Efficace mais profondément débile et perturbant.
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Commentaire du produit : "Trash, re-trash et re-re-trash...! Une horreur sans nom. Imaginez-vous les 20 premières minutes de Orange Mécanique dilatées sur plus de 70 minutes de bande VHS pourrave et revisitées par Korine à la sauce années 2000 : les dandys-punk de Kubrick ont laissé place à des papys lubriques déguisés en sacs-poubelles forniquant les troncs d'arbres, le dispositif esthétique se résume à du filmage-réalité enfilant des scènes de destruction, de soumission, de pornographie ou encore de maltraitance ( youtube, youtube et re-youtube...) et la bande-son se limite à des ricanements malades, des rengaines obsédantes et limitées, de la logorrhée sans queue ni tête surgissant par bribes poétiques ( hummm....) et des explosions de pétard et de débris. Sur le plan émotionnel c'est une réussite complète puisque Korine parvient - avec une économie de moyens évidente dès les premières secondes - à flanquer un malaise d'une rare intensité en reprenant tout un pan des codes du porno-trash voire du snuff-movie. Mais c'est trop. Beaucoup trop. A tel point que cet objet bizarre à plus d'un niveau dérange ad nauseam et ne séduit jamais, même dans son incontestable maîtrise de la caméra et de son langage. Une sorte de Gummo sans l'inspiration ni l'ampleur. Quelque chose d'affreusement délétère se dégage de cette vidéo hallucinante et hallucinée, mise en images d'une bande d'idiots consanguins perdue dans un pitoyable autodafé white trash. Autant revoir le chef d'oeuvre de Lars Von Trier qui - au moins - avait quelque chose à transmettre... Efficace mais profondément débile et perturbant." Ce commentaire dépeint le produit sous un angle négatif ou positif ?
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L'avis suivant exprime quel sentiment ? AvisTrash, re-trash et re-re-trash...! Une horreur sans nom. Imaginez-vous les 20 premières minutes de Orange Mécanique dilatées sur plus de 70 minutes de bande VHS pourrave et revisitées par Korine à la sauce années 2000 : les dandys-punk de Kubrick ont laissé place à des papys lubriques déguisés en sacs-poubelles forniquant les troncs d'arbres, le dispositif esthétique se résume à du filmage-réalité enfilant des scènes de destruction, de soumission, de pornographie ou encore de maltraitance ( youtube, youtube et re-youtube...) et la bande-son se limite à des ricanements malades, des rengaines obsédantes et limitées, de la logorrhée sans queue ni tête surgissant par bribes poétiques ( hummm....) et des explosions de pétard et de débris. Sur le plan émotionnel c'est une réussite complète puisque Korine parvient - avec une économie de moyens évidente dès les premières secondes - à flanquer un malaise d'une rare intensité en reprenant tout un pan des codes du porno-trash voire du snuff-movie. Mais c'est trop. Beaucoup trop. A tel point que cet objet bizarre à plus d'un niveau dérange ad nauseam et ne séduit jamais, même dans son incontestable maîtrise de la caméra et de son langage. Une sorte de Gummo sans l'inspiration ni l'ampleur. Quelque chose d'affreusement délétère se dégage de cette vidéo hallucinante et hallucinée, mise en images d'une bande d'idiots consanguins perdue dans un pitoyable autodafé white trash. Autant revoir le chef d'oeuvre de Lars Von Trier qui - au moins - avait quelque chose à transmettre... Efficace mais profondément débile et perturbant.
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La critique suivante exprime quel sentiment ? CritiqueTrash, re-trash et re-re-trash...! Une horreur sans nom. Imaginez-vous les 20 premières minutes de Orange Mécanique dilatées sur plus de 70 minutes de bande VHS pourrave et revisitées par Korine à la sauce années 2000 : les dandys-punk de Kubrick ont laissé place à des papys lubriques déguisés en sacs-poubelles forniquant les troncs d'arbres, le dispositif esthétique se résume à du filmage-réalité enfilant des scènes de destruction, de soumission, de pornographie ou encore de maltraitance ( youtube, youtube et re-youtube...) et la bande-son se limite à des ricanements malades, des rengaines obsédantes et limitées, de la logorrhée sans queue ni tête surgissant par bribes poétiques ( hummm....) et des explosions de pétard et de débris. Sur le plan émotionnel c'est une réussite complète puisque Korine parvient - avec une économie de moyens évidente dès les premières secondes - à flanquer un malaise d'une rare intensité en reprenant tout un pan des codes du porno-trash voire du snuff-movie. Mais c'est trop. Beaucoup trop. A tel point que cet objet bizarre à plus d'un niveau dérange ad nauseam et ne séduit jamais, même dans son incontestable maîtrise de la caméra et de son langage. Une sorte de Gummo sans l'inspiration ni l'ampleur. Quelque chose d'affreusement délétère se dégage de cette vidéo hallucinante et hallucinée, mise en images d'une bande d'idiots consanguins perdue dans un pitoyable autodafé white trash. Autant revoir le chef d'oeuvre de Lars Von Trier qui - au moins - avait quelque chose à transmettre... Efficace mais profondément débile et perturbant.
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L'évaluation suivante exprime quel sentiment ? EvaluationTrash, re-trash et re-re-trash...! Une horreur sans nom. Imaginez-vous les 20 premières minutes de Orange Mécanique dilatées sur plus de 70 minutes de bande VHS pourrave et revisitées par Korine à la sauce années 2000 : les dandys-punk de Kubrick ont laissé place à des papys lubriques déguisés en sacs-poubelles forniquant les troncs d'arbres, le dispositif esthétique se résume à du filmage-réalité enfilant des scènes de destruction, de soumission, de pornographie ou encore de maltraitance ( youtube, youtube et re-youtube...) et la bande-son se limite à des ricanements malades, des rengaines obsédantes et limitées, de la logorrhée sans queue ni tête surgissant par bribes poétiques ( hummm....) et des explosions de pétard et de débris. Sur le plan émotionnel c'est une réussite complète puisque Korine parvient - avec une économie de moyens évidente dès les premières secondes - à flanquer un malaise d'une rare intensité en reprenant tout un pan des codes du porno-trash voire du snuff-movie. Mais c'est trop. Beaucoup trop. A tel point que cet objet bizarre à plus d'un niveau dérange ad nauseam et ne séduit jamais, même dans son incontestable maîtrise de la caméra et de son langage. Une sorte de Gummo sans l'inspiration ni l'ampleur. Quelque chose d'affreusement délétère se dégage de cette vidéo hallucinante et hallucinée, mise en images d'une bande d'idiots consanguins perdue dans un pitoyable autodafé white trash. Autant revoir le chef d'oeuvre de Lars Von Trier qui - au moins - avait quelque chose à transmettre... Efficace mais profondément débile et perturbant.
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Commentaire : "Et si, dans les 5 premières minutes du film, la pathétique maquette de train fendant la neige en gros plan laissait bien augurer du reste ? Si cet artifice trop visible illustrait toute la lourdeur des 100 et quelques minutes de bobine, tous ces atermoiements, tout ce sentimentalisme à deux balles… ? Et une fois ce « train » arrivé en gare, qui peut croire honnêtement au coup de foudre du Comte Vronsky pour Anna ?! Or tout le film est axé sur ce moment… Seule le petit délire suicido-ferroviaire final d’Anna est à la hauteur. P… de train !" Le commentaire est-il positif ou négatif ?
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Avis : " Et si, dans les 5 premières minutes du film, la pathétique maquette de train fendant la neige en gros plan laissait bien augurer du reste ? Si cet artifice trop visible illustrait toute la lourdeur des 100 et quelques minutes de bobine, tous ces atermoiements, tout ce sentimentalisme à deux balles… ? Et une fois ce « train » arrivé en gare, qui peut croire honnêtement au coup de foudre du Comte Vronsky pour Anna ?! Or tout le film est axé sur ce moment… Seule le petit délire suicido-ferroviaire final d’Anna est à la hauteur. P… de train ! " L'avis est-il positif ou négatif ?
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Critique : "Et si, dans les 5 premières minutes du film, la pathétique maquette de train fendant la neige en gros plan laissait bien augurer du reste ? Si cet artifice trop visible illustrait toute la lourdeur des 100 et quelques minutes de bobine, tous ces atermoiements, tout ce sentimentalisme à deux balles… ? Et une fois ce « train » arrivé en gare, qui peut croire honnêtement au coup de foudre du Comte Vronsky pour Anna ?! Or tout le film est axé sur ce moment… Seule le petit délire suicido-ferroviaire final d’Anna est à la hauteur. P… de train !" La critique est-elle positive ou négative ?
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Evaluation : " Et si, dans les 5 premières minutes du film, la pathétique maquette de train fendant la neige en gros plan laissait bien augurer du reste ? Si cet artifice trop visible illustrait toute la lourdeur des 100 et quelques minutes de bobine, tous ces atermoiements, tout ce sentimentalisme à deux balles… ? Et une fois ce « train » arrivé en gare, qui peut croire honnêtement au coup de foudre du Comte Vronsky pour Anna ?! Or tout le film est axé sur ce moment… Seule le petit délire suicido-ferroviaire final d’Anna est à la hauteur. P… de train ! " L'évaluation est-elle positive ou négative ?
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Ce commentaire sur le produit est-il positif ou négatif ? Commentaire : "Et si, dans les 5 premières minutes du film, la pathétique maquette de train fendant la neige en gros plan laissait bien augurer du reste ? Si cet artifice trop visible illustrait toute la lourdeur des 100 et quelques minutes de bobine, tous ces atermoiements, tout ce sentimentalisme à deux balles… ? Et une fois ce « train » arrivé en gare, qui peut croire honnêtement au coup de foudre du Comte Vronsky pour Anna ?! Or tout le film est axé sur ce moment… Seule le petit délire suicido-ferroviaire final d’Anna est à la hauteur. P… de train !" Réponse :
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Cet avis sur le produit est-il positif ou négatif ? Avis : "Et si, dans les 5 premières minutes du film, la pathétique maquette de train fendant la neige en gros plan laissait bien augurer du reste ? Si cet artifice trop visible illustrait toute la lourdeur des 100 et quelques minutes de bobine, tous ces atermoiements, tout ce sentimentalisme à deux balles… ? Et une fois ce « train » arrivé en gare, qui peut croire honnêtement au coup de foudre du Comte Vronsky pour Anna ?! Or tout le film est axé sur ce moment… Seule le petit délire suicido-ferroviaire final d’Anna est à la hauteur. P… de train !" Réponse :
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Cette critique sur le produit est-elle positive ou négative ? Critique : "Et si, dans les 5 premières minutes du film, la pathétique maquette de train fendant la neige en gros plan laissait bien augurer du reste ? Si cet artifice trop visible illustrait toute la lourdeur des 100 et quelques minutes de bobine, tous ces atermoiements, tout ce sentimentalisme à deux balles… ? Et une fois ce « train » arrivé en gare, qui peut croire honnêtement au coup de foudre du Comte Vronsky pour Anna ?! Or tout le film est axé sur ce moment… Seule le petit délire suicido-ferroviaire final d’Anna est à la hauteur. P… de train !" Réponse :
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Cette évaluation sur le produit est-elle positive ou négative ? Evaluation : "Et si, dans les 5 premières minutes du film, la pathétique maquette de train fendant la neige en gros plan laissait bien augurer du reste ? Si cet artifice trop visible illustrait toute la lourdeur des 100 et quelques minutes de bobine, tous ces atermoiements, tout ce sentimentalisme à deux balles… ? Et une fois ce « train » arrivé en gare, qui peut croire honnêtement au coup de foudre du Comte Vronsky pour Anna ?! Or tout le film est axé sur ce moment… Seule le petit délire suicido-ferroviaire final d’Anna est à la hauteur. P… de train !" Réponse :
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Commentaire : "Et si, dans les 5 premières minutes du film, la pathétique maquette de train fendant la neige en gros plan laissait bien augurer du reste ? Si cet artifice trop visible illustrait toute la lourdeur des 100 et quelques minutes de bobine, tous ces atermoiements, tout ce sentimentalisme à deux balles… ? Et une fois ce « train » arrivé en gare, qui peut croire honnêtement au coup de foudre du Comte Vronsky pour Anna ?! Or tout le film est axé sur ce moment… Seule le petit délire suicido-ferroviaire final d’Anna est à la hauteur. P… de train !" Ce commentaire sur le produit exprime-t-il un sentiment négatif ou positif ?
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Avis : "Et si, dans les 5 premières minutes du film, la pathétique maquette de train fendant la neige en gros plan laissait bien augurer du reste ? Si cet artifice trop visible illustrait toute la lourdeur des 100 et quelques minutes de bobine, tous ces atermoiements, tout ce sentimentalisme à deux balles… ? Et une fois ce « train » arrivé en gare, qui peut croire honnêtement au coup de foudre du Comte Vronsky pour Anna ?! Or tout le film est axé sur ce moment… Seule le petit délire suicido-ferroviaire final d’Anna est à la hauteur. P… de train !" Cet avis sur le produit exprime-t-il un sentiment négatif ou positif ?
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Critique : "Et si, dans les 5 premières minutes du film, la pathétique maquette de train fendant la neige en gros plan laissait bien augurer du reste ? Si cet artifice trop visible illustrait toute la lourdeur des 100 et quelques minutes de bobine, tous ces atermoiements, tout ce sentimentalisme à deux balles… ? Et une fois ce « train » arrivé en gare, qui peut croire honnêtement au coup de foudre du Comte Vronsky pour Anna ?! Or tout le film est axé sur ce moment… Seule le petit délire suicido-ferroviaire final d’Anna est à la hauteur. P… de train !" Cette critique sur le produit exprime-t-il un sentiment négatif ou positif ?
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Evaluation : "Et si, dans les 5 premières minutes du film, la pathétique maquette de train fendant la neige en gros plan laissait bien augurer du reste ? Si cet artifice trop visible illustrait toute la lourdeur des 100 et quelques minutes de bobine, tous ces atermoiements, tout ce sentimentalisme à deux balles… ? Et une fois ce « train » arrivé en gare, qui peut croire honnêtement au coup de foudre du Comte Vronsky pour Anna ?! Or tout le film est axé sur ce moment… Seule le petit délire suicido-ferroviaire final d’Anna est à la hauteur. P… de train !" Cette évaluation sur le produit exprime-t-il un sentiment négatif ou positif ?
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Ce commentaire sur le produit a-t-il un ton négatif ou positif ? Commentaire : "Et si, dans les 5 premières minutes du film, la pathétique maquette de train fendant la neige en gros plan laissait bien augurer du reste ? Si cet artifice trop visible illustrait toute la lourdeur des 100 et quelques minutes de bobine, tous ces atermoiements, tout ce sentimentalisme à deux balles… ? Et une fois ce « train » arrivé en gare, qui peut croire honnêtement au coup de foudre du Comte Vronsky pour Anna ?! Or tout le film est axé sur ce moment… Seule le petit délire suicido-ferroviaire final d’Anna est à la hauteur. P… de train !" Réponse :
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Cet avis sur le produit a-t-il un ton négatif ou positif ? Avis : "Et si, dans les 5 premières minutes du film, la pathétique maquette de train fendant la neige en gros plan laissait bien augurer du reste ? Si cet artifice trop visible illustrait toute la lourdeur des 100 et quelques minutes de bobine, tous ces atermoiements, tout ce sentimentalisme à deux balles… ? Et une fois ce « train » arrivé en gare, qui peut croire honnêtement au coup de foudre du Comte Vronsky pour Anna ?! Or tout le film est axé sur ce moment… Seule le petit délire suicido-ferroviaire final d’Anna est à la hauteur. P… de train !" Réponse :
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